Gerfanion arrive tôt le matin du 26 mai 1460 à La Rochelle. Cela fait un bon nombre de jours qu'il a quitté sa terre de presque toujours : Toulouse. Et c'est dans un but précis que son départ fut effectif : s'installer au bord de l'océan. C'est depuis aujourd'hui chose faite.
Il range sa charrette dans un coin et dépose quelques biens sur le marché de la ville. Il se met en quête d'un coin de terre qu'il pourra à loisirs aménager où il fera bon vivre et accueillir les amis qu'il compte bien avoir ici sous peu. Il ère en s'émerveillant de la beauté du paysage. Dans le passé, il est déjà venu dans cette ville, mais il était resté trop peu pour pouvoir profiter pleinement.
Au bout de quelques temps de balade tranquille, il trouve un endroit proche de la ville mais aussi un peu à l'écart qui semble vouloir le retenir. Personne ne semble s'être encore intéressé à ce petit bout de terre. Il avance un peu et recherche l'endroit le plus plat qui lui permettra de bâtir une petite bicoque en attendant mieux pour l'avenir.
Alors qu'il commence sont installation, une personne qui passe par là s'arrête et tout naturellement vient le saluer. C'est sans doute attiré par la curiosité qu'elle approche, mais avec courtoisie. Gerfanion avance vers lui pour le saluer comme il se doit.
Bonjour messire,
Je suis Gerfanion, j'arrive du comté de Toulouse et je m'installe ici comme vous pouvez le voir. Il semble que ce lopin de terre soit libre. Vous avez un beau pays, la ville est fort charmante et très agréable. Je sens déjà que je vais me plaire ici.
L'homme l'accueille chaleureusement. Il le rassure en lui confirmant que jamais il n'a vue quiconque ici, la terre est donc bien disponible.
Gerfanon le remercie et s'excuse rapidement auprès de lui afin de reprendre son travail du moment, se faire sa place ici, faire son trou comme on dit parfois !
Accueil 
. Je ne suis pas arrivé seul aussi en effet, dame Roxanne m'accompagne, je vous avoue aussi que je suis ici car elle a choisi la destination. Son choix est plutôt réussi. Je pense que vous n'allez pas tarder à la rencontrer, du moins j'espère.