[installation illégale]Jules.RELAXE

Citation :

Bonjour,
Il semblerait que votre baluchon et vous même soient décidé de rester à la Rochelle.
Or, votre installation au Poitou est illégale, car celle-ci est réglementée. Il faut que vous fassiez la demande de citoyenneté le plus rapidement possible, afin d’éviter les poursuites.

Pour cette demande d'installation au Poitou, je vous prierai d'envoyer une missive au prévot ( allydou), ou bien de vous rendre au château et de demander votre chemin pour trouver la salle ou déposer votre demande.


Cordialement,
Xedar
lieutenant de police de la Rochelle

Citation :

Informations sur Jules. de Sambre et anciennement connu comme juleslevagabond

Né(e) le 26 Mars 2008

Jules. fête son anniversaire le 22 Octobre.

Dernière adresse connue
Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Comté du Poitou
Village : La Rochelle

Niveau : 3
Points de réputation : 201
Argent : 11

Jules. ne cultive ni n'élève rien.

Dernière connexion le 14 Décembre 2009 à 02h39

Citation :

Expéditeur : Jules. de Sambre
Date d'envoi : 2009-12-15 00:10:15
Illégale ? Ah mais du tout mon bon messire. Je vis sous le même toit que demoiselle Félina, qui est elle dans la légalité. Vous comprendrez que je ne pouvais attendre plus longtemps un courrier de la part de dame Olyvia... Qui apparemment n'a plus la même place... Si vous pouviez donc faire part de cette bonne nouvelle je vous en serais gré.

La bonne journée,

Jules

Citation :

Bonjour
Heu laisser moi réfléchir quelque seconde...j'ai trouvé, il me semble que j'vous parle pas de felina mais de vous, or vous vous n'avez pas le droit, donc vous s'allez prendre vos clic et vos clac et sortir du Poitou.
cordialement,
Xedar

Citation :

Expéditeur : Jules. de Sambre
Date d'envoi : 2009-12-15 08:49:43
Ah qu'il est bon d'avoir pareille lecture au matin... Et après vous vous étonnez de la suite qui risque d'être épineuse. Je ne viens pas vous demandez votre avis mais de faire passer le message précédent à qui de droit, donc ici dame Allidou -et mes excuses si j'écorche le nom, le réveil matin est on ne peut plus médiocre - qui commence à mettre un temps à répondre. Donc oui en attendant je dors chez quelqu'un d'ici, aussi hallucinant cela vous semble-t-il.
La Prévôté ne peut pas aller plus vite que la musique mon bon sire, surtout en pendant une période d'alerte rouge... D'ailleurs d'où qu'elle vient personne ne sait... J'espère pour le Poitou qu'il a de bonnes caisses.

Sur ce, avec la joie d'avoir un courrier identique de votre part

La bonne journée !

Jules

PS : c'est le temps pluvieux qui vous rend de mauvais poil ? Je vous prescris la tisane... C'est bon pour les lombaires sait on jamais !

Merci Xedar, je prends le relai et il aura ma réponse dans la soirée celui la ...

Installation sans autorisation, menace pour le Comté ....
Je transfère au procureur

Acte d'accusation :

Citation :

21 décembre 1457

Accusateur : Comté du Poitou
Procureur : Theudrik
Juge : Haverocq de Marigny, dict Elra

Accusé : Jules.
Village : La Rochelle (Comté du Poitou)
Métier(s) : Erudit, sans terre ni échoppe


Votre Honneur,

Nous, Theudrik, en notre qualité de Procureur du Poitou, accusons en ce 21 décembre 1457, le sieur Jules. pour Installation Illégale en Poitou, délit qualifié de Trouble à l'Ordre Public.

Ce sieur s'est en effet installé illégalement le 14 décembre à La Rochelle sans avoir jamais demandé d'autorisation à quiconque, malgré au moins un courrier attesté du lieutenant Xedar, de la police de La Rochelle.

J'aimerais rappeler les textes de la coutume poitevine :

Article I.3 : de la citoyenneté poitevine :
Toute personne étant née au Poitou ET ayant résidence au Poitou, est considéré comme citoyen Poitevin.
Un étranger au Poitou ne peut être citoyen qu'après avoir obtenu l'autorisation écrite du comte ou du bureau de la citoyenneté de déménager sa résidence principale au Poitou, et avoir effectivement déménagé.
Tout noble ayant fief au Poitou est considéré comme citoyen Poitevin.
Tout citoyen du Poitou que ce soit depuis sa naissance, ou suite à un déménagement, doit fidélité au Poitou et donc a son Comte.

--------------------------------------
Egalement, l'article II.2 : Du trouble à l'ordre public
a. Tout acte portant préjudice à une personne ou à un groupe de personnes, ou susceptible de le faire, de quelque nature qu'il soit, sera considéré comme trouble à l'ordre public. Il en sera de même de tout acte nuisant à la quiétude publique.
b. Sera pareillement considérée toute atteinte aux intérêts du Poitou commise par une personne n'étant pas sujette du Poitou.

---------------------------------------------------

Je fais également remarquer à la Cour que l'accusé a fait preuve de propos déplacés, voire menaçants envers le Comté, en répondant au lieutenant Xedar. Vous en avez ici les preuves :

https://chateau-poitevin.forum2jeux.com/bureau-du-juge-f4/installation-illegalejules-t10754.htm


Je rappelle enfin à l'accusé qu'il peut faire appel à un avocat s'il le souhaite.

La parole est à la défense.

Procès ouvert. Témoignage du lieutenant Xedar demandé.

témoignage fait demain (si j'oublie pas )

Premier témoignage de la défense :

Citation :

*Journée comme les autres à La Rochelle. Point de grandes rencontres à part un homme qui se dit de l'armée des Ours et qui lui assure qu'il vaut mieux qu'il ne sache rien. La xénophobie prend de l'ampleur, comme la peur... Comme s'ils croyaient que personne n'avait remarqué leur coup en douce. « T'es de Zoko, c'est une habitude à prendre le rejet » lui avait dit le Colosse. Une armée ici, une alerte rouge là... Plus prévoyant, tu meurs. Les hommes de pouvoir pictave avaient posé l'étiquette sur la compagnie de mercenaires, et il l'attendait le rouquin ; Le revers des véreux.
Un volatile vient signaler sa présence à la fenestre... Long soupir de l'homme aux longs cheveux carmin. Ça commence ?... Les bottes cloutées viennent claquer sur le parquet alors qu'un bras se tend vers le messager pour l'alléger. Une rapide lecture des onyx avant de froisser le vélin d'une main froide, le visage crispé de colère et de dégoût. Rien n'a changé en politique et la Justice.

Conscient de l'ampleur et la bêtise de l'affaire, le Sambre n'hésite pas et envoie deux pigeons. Il fallait du poids dans cette affaire, pour sûr. Direction le tribunal, nu d'armes, histoire de pas faire jaser les gardes. Il lit l'acte d'accusation... Pour lever les yeux au ciel. Du grand n'importe quoi. Enfin il faut se tenir devant le Juge et les autres. Quand le procureur lui donne la parole, le roux salue l'assemblée avant de prendre la parole, raclement de gorge oblige.*
Votre Honneur,
Nous sommes début Décembre et plusieurs compagnons et moi arrivons sur vos terres. Déjà plusieurs d'entre eux font la demande de vivre en Poitou. En à peine quelques jours ils ont la réponse, acceptés.
Dame Olivyaa était à la direction de la Prévôté si je me souviens bien. Tout cela se passe à Thouars.
Et nous voilà ici aujourd'hui... Après plusieurs semaines passées. Et j'attends encore la réponse de dame Allydou sur mon installation. Oh mais je ne lui avais pas envoyé directement à elle un courrier... Mais à la précédente femme à son poste. J'aurais espéré que logiquement les prédécesseurs donnent leurs dossiers non terminés à ses successeurs. Hé bien non, à défaut d'avoir eu une réponse de dame Olivyaa ou de dame Allydou j'ai eu sire Xedar après une dizaine de jours d'attente. En cela, vous vous doutez que c'est assez dérangeant d'apprendre qu'après tant de temps on nous demande de répéter la demande - cette fois gentiment - alors que d'autres exactement dans la même situation que moi n'ont pas eu à patienter plus de deux jours. J'ai donc répondu aimablement au sire qu'en attendant une réponse je demeurais chez une compagne dans la légalité de la propriété, et j'ai bien noté au lieutenant de faire passer le message à sa hiérarchie.

Un mot de dame Allydou qui dit avoir pris en compte la demande ou quelque chose ? Non. Le même lieutenant, mais... Excusez moi du peu mais... Qui parle comme à un demeuré ici ?
Dans le doute, je vais relire le courrier :

Bonjour
Heu laisser moi réfléchir quelque seconde...j'ai trouvé, il me semble que j'vous parle pas de felina mais de vous, or vous vous n'avez pas le droit, donc vous s'allez prendre vos clic et vos clac et sortir du Poitou.
cordialement,
Xedar

Étonnant comme j'ai ressenti ici une attaque personnelle plutôt qu'un homme qui prend le temps d'une réponse aimable. Et de quel droit le lieutenant me demande-t-il de partir séance tenante alors que j'ai déjà fait une demande et bien noté dans mon précédent vélin que je souhaitais simplement qu'il informe dame Allydou, vu que dame Olivyaa n'est plus à ce poste.

Alors selon l'acte d'accusation je n'ai JAMAIS envoyé de demande ? Non non non. Bien avant dame Allydou et même à nouveau après le premier message du lieutenant Xedar. Vous n'avez qu'à demander dame Olivyaa pour la première fois. Ce n'est pas vraiment ma faute s'il n'y a pas eu échange de dossiers entre les deux dames.

*Ceci fait notre rouquin a besoin de reprendre un bon bol d'air, faut dire que la tirade est encore longue. Souffle repris, il enchaine*

Maintenant, passons à la menace envers le Comté... Je trouve ça juste un poil exagéré, surtout vu comment répond le lieutenant. Les propos déplacés ont été largement débutés de sa part il me semble. J'ai été, en regardant ma réponse à ses propos, plutôt respectueux envers sa personne. Je ne l'ai pas pris pour un idiot ou un demeuré.

Je cite : Et après vous vous étonnez de la suite qui risque d'être épineuse.

Hé bien oui... J'écrivais au lieutenant qu'après tel vélin de sa part il ne fallait pas s'étonner que je lui envoie une lettre de cet acabit. Je ne vois pas en quoi cette lettre est menaçante envers le Poitou tout entier.

Enfin ma dernière citation : J'espère pour le Poitou qu'il a de bonnes caisses.

Effectivement, j'ai pu remarquer comme mes compagnons qu'en La Rochelle il y a eu l'arrivée de deux belles armées juste après nous. Il y a un mal à se soucier que les caisses d'un Comté se vident au fur et à mesure qu'une armée coûte au fil des jours ?

Le véritable problème tient surtout de la réputation que nous avons ici. Nous sommes jugés avant l'heure comme un danger donc chaque propos lancé sur le Poitou est considéré directement comme une attaque. Tout est exagéré. Pourtant cela fait depuis des semaines que rien ne se passe de notre cause... Et cela bien avant l'arrivée des deux armées à La Rochelle.

Et puisqu'il me faut appuyer mes propos sur ce procès, je souhaite appeler en premier témoin à la barre une véritable habitante du Poitou pour donner un avis différé, suivi de celle qui m'héberge pour montrer la différence de vitesse sur l'acceptation au Poitou.

Elle a bien été acceptée en quelques jours à Thouars par dame Olivyaa, alors pourquoi faut-il qu'à La Rochelle ce soit si différent avec ma personne alors que rien ne nous sépare sinon la différence du sexe ?

Alors voilà, je trouve complètement exagérée la vision d'une menace quelconque par ma dernière lettre et je démens les propos sur que je n'ai jamais fait de demande à la Prévôté pour mon installation.

*Ceci terminé le roc carmin de la Zoko s'assied avant de sourire à peine à la pictave de Thouars. Ça va être long...*

Témoignage du lieutenant Xedar :

Citation :

*Xedar s'installa à la barre, les traits tirés, témoins de sa fatigue.*

Bonjour,

Sous la demande du procureur je viens ici témoigner devant la cour de cette affaire.

Le 14 décembre, un jour comme les autres, je réceptionne les rapports des gardes des différentes portes de la ville, fait un tour des auberges afin de savoir qui est présent ou non, plus quelques autres procédures qui me conduisent à voir que le sieur ici présent à déménager à la Rochelle. j'ai donc pris un parchemin et une plume pour lui écrire afin de l'informer qu'il devait soit partir soit régulariser sa situation.

Et là, il me répond que non elle ne l'est pas puisqu'il vit avec quelqu'un qui elle est dans la légalité. Et c'est écrit nulle part que cela permet d'accéder à la citoyenneté poitevine. Ensuite il me dit attendre depuis longtemps une réponse de notre pévôt, il a donc l'air de penser pas de nouvelle bonne nouvelle, or si la personne n'a pas de réponse il faut plutôt prendre cela comme un refus. Ensuite il dit ceci :

"Qui apparemment n'a plus la même place... Si vous pouviez donc faire part de cette bonne nouvelle je vous en serais gré."

Bon la première partie tout le monde comprend cela veut dire que sa grandeur olivyaa n'est plus prévôt.

Par contre, ensuite, de quelle nouvelles parle-t-il et à qui veut-il que j'en fasse part ?

La réponse qui me vient à l'esprit c'est que la bonne nouvelle soit le fait de s'être installé à la Rochelle, bref il se fiche de nous.
Donc je lui répond, que premièrement je ne parle pas de Felina mais de lui et deuxièmement que vu qu'il n'a pas régularisé sa situation il doit quitter le Poitou. Oui j'ai parlé de clic et de clac mais me semble que ceci est une expression qui est à mes yeux point péjoratif. J'aurais pus être plus aimable mais bon quand on se moque de moi je ne vais pas faire d'effort...

"Et après vous vous étonnez de la suite qui risque d'être épineuse". Cela me semble être ni plus ni moins une menace. Personnellement je n'ai pas rencontré encore de roses ou de buisson épineux donc je dois en conclure que le vous représente la ville ou bien le Poitou.

"J'espère pour le Poitou qu'il a de bonnes caisses."

Pour tout homme ceci est aussi une menace. L'on ne parle pas ici du contenu de nos caisses mais des caisses en elles-même, de leur protection. De plus il parlait de l'alerte rouge avant, c'est-à-dire du danger et non pas des armées et de leur coût.

Voilà il me semble avoir tout dit.

Monsieur le juge, monsieur le procureur merci de m'avoir écouté.

Témoignage de Cathycat, témoin de la défense :

Citation :

*Thouars, une journée calme de décembre, comme une autre. Le commis du bourgmestre, lui apporte un courrier urgent du Tribunal � Froncement de sourcils de la belle brune � Une convocation au Tribunal, on venait de la faire citer à témoin. Après avoir rangé ses dossiers en cours, elle prit donc la direction de la Capitale et se rendit au Tribunal pour voir de quoi il en retournait.
Tout d'abord grande surprise, en voyant qui l'avait citée, Jules, le compagnon de Felina, zokoïstes tous deux, arrivés en Poitou quelques semaines auparavant. Elle les savait indésirables aux yeux des poitevins et pourtant elle n'avait jamais rien eut à leurs reprocher. Aimables, agréables, coopératifs et rendant service, elle ne voyait pas où était le souci.
Toutefois, elle prit place dans la salle et écouta l'acte d'accusation, puis les interventions de Jules et de Xedar. Son sang commençait à bouillonner lentement au fur et à mesure de ce qui se disait, néanmoins, elle tentait de garder son visage fermé, ne laissant rien transparaitre de la colère qui montait en elle.
Quand son tour fut venu, elle se leva et s'avança vers la barre, adressant un léger sourire à Jules et Felina, mais ne daignant pas regarder l'homme qui partait se rassoir.*

Bonjour Mr le Juge et Vicomte, Mr le Procureur,

Inutile que je fasse de grande présentation, vous me connaissez en tant que Maire de Thouars et en tant que collègue au Conseil Comtal. *Léger sourire de la brune * Je dois vous avouer, que j'ai été surprise d'être convoquée devant vous, mais maintenant je comprends un peu mieux la raison de cette dite convocation �
Pour commencer, je connais, en effet quelque peu l'accusé, pour l'avoir accueilli à Thouars mais aussi pour avoir pu profiter de ses bons services lors de son passage. Et oui, ce dernier c'est proposé au bûcheronnage et a revendu son bois à un prix très compétitif afin d'aider la mairie, et là je reprends ses propres termes. Lui et ses compagnons ont toujours fait preuve de bonnes intentions, pour dire ils m'ont même écrit à leur arrivée à La Rochelle pour me demander quelle mine privilégier. Je ne cherche en aucun cas à excuser le fait qu'il se soit installé sans accord ... Et encore qu'il faudra un jour qu'on m'explique comment on fait pour déterminer d'une installation ou non, sans acte de vente de terre ou autre � Cela reste un grand mystère pour moi � Mais là n'est pas la question.
Là où je suis choquée, oui je dis bien choquée, c'est le comportement d'un lieutenant de Police, qui de part son post, représente les hautes sphères du Poitou et par là même le Conseil Comtal. C'est à dire vous, mes collègues et moi. Donc ce qui me choque ici c'est le ton employé pour répondre et aussi cette manière de prendre ce sieur de haut, voir même de le prendre pour le dernier des demeurés. Est-ce un comportement digne d'un représentant du Poitou ? Non je ne crois pas.
Ensuite pardonnez-moi ma blonditude intérieure, mais je ne vois nulle part une quelconque agression, de la part du sieur Jules ici présent, dans ses réponses faites à un Lieutenant condescendant et désagréable. Je crois même que pour ma part, si j'avais été à sa place j'aurais été bien moins aimable qu'il ne l'a été. Je dois tout de même vous rappeler qu'il a fait une demande en bonne et due forme à la Comtesse Olivyaa, que celle-ci ne lui a pas répondu. Ensuite cette dernière a été remplacée par Dame Allydou qui, elle non plus, ne lui a pas répondu et ce plus d'une semaine après sa lettre. Ensuite vous avez ce Lieutenant de Police, qui se permet de l'invectiver par courrier et même se taper le culot de vouloir le foutre dehors ? Mais de quel droit ? Est-ce lui qui prend ce genre de décision ? Je ne crois pas.
Je peux alors comprendre aisément la réaction de ce sieur devant tant de mépris, de dédain et d'ignorance. Belle image du Poitou �
Et quand à ces pseudos menaces � Où voyez-vous des menaces ? Moi je ne vois qu'une réaction typiquement humaine face au comportement d'un policier zélé. Il y a de quoi être excédé. Il ne demandait qu'une seule chose au départ, c'est que son dossier soit transmis correctement au nouveau Prévôt, puisque cela ne semblait pas être le cas. En réponse de quoi il se fait agresser ?!
Maintenant sa réponse � En quoi dire qu'une situation est épineuse est une menace, car il faut bien admettre que la situation l'est belle et bien, épineuse � Et cette histoire de caisses � Totalement ridicule, pour sûr que nos caisses se porteraient bien mieux, si ce même policier avait passé moins de temps à distiller son fiel et sa paranoïa à toute une ville. S�il devait se passer quelque chose, y a belle lurette que cela serait fait. De plus les étrangers ne sont pas les plus à craindre, rappelez vous juste Poitiers � Une bonne partie, plus de la moitié étaient poitevins, pure souche même et non pas des naturalisés, si je puis dire les choses ainsi.

Pour conclure, je ne dirais qu'une seule chose, le dédain et le mépris engendre le dédain et le mépris. On récolte ce que l'on sème. Et dans ce que j'ai entendu ici, celui que l'on accuse de dédain et de mépris, n'est certainement pas celui qui est là pour être jugé. Avant de regarder la paille dans l'�il du voisin, on regarde la poutre que l'on a dans le sien �

Et si je puis me permettre, connaissant la bonne foi de l'accusé, je suis sûr que ce dernier ne rechignera pas à un travail d'intérêt général pour expier sa faute commise par un simple manque de patience pour une simple réponse qui se faisait attendre.

*Elle salua la Cour avant de se retirer, pour revenir s'assoir à sa place. *

Témoignage de Felina :

Citation :

* Félina, entrée dans le tribunal depuis le départ, est restée sagement assise sur le banc des témoins. Elle a écouté le procureur, sourcils froncés de plus en plus à mesure que l'acte d'accusation était prononcé, ne comprenant rien à rien. Mais il ne fallait pas rire, ni l'endroit ni le moment. Puis vient la défense de Jules suivi du témoignage de celui qui l'accusait de � quoi déjà ? Ah oui insultes et menace pour le comté. Enfin la parole est donnée à Cathy, qu'elle a eu l'occasion de rencontrer et d'apprécier pour son chaleureux accueil à Thouars. Y a pas à dire, la Rochelle avait fort à faire pour parvenir à la hauteur de sa voisin Poitevine en matière d'accueil des étrangers. Son témoignage était sincère et sans parti pris, et Félina se permet de lui sourire lorsque son regard croise le sien.
Puis, quand vient le moment, elle se lève et se met à parler.

M'ssire le Juge, M'ssire l'Procureur. *Léger mouvement de tête en guise de salut*

J'me présente, même s'il semble que dans ce coin du Royaume vos services de renseignement soient des plus efficaces et sachent des choses que même moi j'croyais avoir oublié. Pour commencer, je me nomme Félina Rastignac, vagabonde depuis bien longtemps. Je suis, selon vos lois, Rochelaise depuis le 6 décembre de cette année, par la volonté de sa Grandeur, c'est bien comme ça qu'on dit hein ?, le comte Cyphus si j'en crois le courrier que je tiens là et que vous pouvez lire si l'envie vous en prend.



J'comprends pas bien d'ailleurs, car quand je suis arrivée à Thouars, l'on m'a sauté dessus immédiatement avec une missive (écrite par la lieutenante de Thouars, Dame Sexybabyphat, pas encore comtesse consort à ce moment là) m'expliquant que je n'avais pas le droit de déménager en Poitou. Or ce mot déménager m'est totalement inconnu, car je n'ai jamais eu de chez moi et je ne pensais pas que planter une tente sur vos terres devait être compris comme une installation, n'ayant ni champ, ni échoppe et n'ayant aucunement l'intention d'en posséder un jour, ni ici, ni ailleurs. Mais passons, ce procès n'est pas le mien, j'vous explique juste comment cela s'est passé pour moi afin que vous puissiez comprendre que le traitement n'est pas le même selon les différents interlocuteurs que nous avons et que le plus grand flou entoure par la même vos procédures pour obtenir le droit de séjourner, ou de s'installer, comme vous voulez, sur vos terres. Comment voulez vous que ceux que vous nommez étrangers puissent s'y retrouver dès lors dans votre sac de noeud administratif ?

Je continue donc. Ainsi, en ayant constaté que j'avais enfreint une loi, je me suis renseignée, de vive voix, auprès du comte, de son épouse et de Messire Cyclope qui tous m'ont demandé de me rendre au château ou d'écrire à la prévôt, pour je cite "régulariser ma situation". J'ai donc choisi la deuxième solution, n'ayant pas forcément envie de me rendre à Poitiers, et j'ai écris à Dame Olivyaa qui m'a donc répondu par cette missive que je tiens à votre disposition. Comme vous le voyez, il ne m'a pas fallu plus d'une journée pour être en règle et officiellement Poitevine. De plus la prévôt d'alors précise bien qu'une "simple missive expliquant (nos) intentions est suffisante". Je ne comprends donc pas pourquoi elle a été si prompt à me répondre, alors qu'elle n'a pas daigné répondre à mon compagnon quelques jours plus tard, ni sa remplaçante à ce poste. Je n'y entends pas grand-chose en affaires de prévôté, mais il me semble que répondre aux missives est l'une des prérogatives de ce genre de fonction.

De plus, pourquoi alors Messire Xedar ici présent, refuse t-il l'installation de mon compagnon Jules, alors même qu'il n'y aucune différence de traitement à appliquer? Nous sommes arrivés ensembles, le même jour et du même endroit. Quelle différence y-a-t-il donc ? N'aime t-il pas les roux, n'aime t-il pas les hommes étrangers ? Comment un seul homme peut il être une menace pour un comté tout entier ? Deux poids deux mesures qui entretiennent la confusion Votre Honneur. Messire Jules est à la Rochelle depuis des semaines, il va à la pêche tous les jours et revend son poisson au prix indiqué pour aider le comté tout comme moi à qui il indique d'ailleurs les meilleurs coin de pêche. Comme vous l'a justement dit Dame Cathy, il a même proposé son aide lorsque nous étions à Thouars. Il n'a commis aucun crime, à moins que celui de vouloir rester à mes côtés dans ce village que nous affectionnons tous les deux en soit un, de cela seul vous êtes Juge Votre Honneur. Je nomme ce que fait Messire Xedar un délit de faciès, je ne vois pas d'autres explications. Il veut un exemple, et a sauté sur la première occasion pour mettre messire Jules en procès.

En faisant le tri, je pense comprendre en écoutant Messire Xedar qu'il se dit insulté par les mots utilisés par Jules, et encore mieux, prétend que le comté est menacé par les quelques piques verbales adressées par missive. Je pense moi, que ce sieur a peur et n'a aucun sens de l'humour. Passer trop de temps terré chez lui doit le rendre craintif de tout ce qui est nouveau et étranger, et pour une fois qu'un homme ose se permettre un trait d'humour, Messire Xedar prend cela pour une offense personnelle. Mais comme il est fier, et que bien sûr il ne compte pas se ridiculiser en portant plainte pour insulte personnelle, il s'arrange pour interpréter les paroles de Jules dans un sens qui l'arrange afin de pouvoir l'accuser de menacer le comté tout entier. Belle hypocrisie s�il en est que de devoir se cacher derrière un stratagème si pitoyable. Je vous parie même la seule main qu'il me reste qu'au sortir de ce tribunal il viendra déposer plainte contre moi pour les mots que je viens d'utiliser, en prétendant surement que je suis également un menace pour notre comté.
Si Messire Xedar prenait le temps de venir en taverne, avec quelqu'un d'autre que celle qui semble partager sa vie, alors se serait il rendu compte que tous les "étrangers" de séjour à la Rochelle se font la même remarque en voyant le déploiement armé ces derniers jours, à savoir que le comté n'a vraiment pas peur de dépenser de l'argent en pur perte à défendre une mairie et un port contre des fantômes, nous n'avons aucune intention de faire du grabuge en ce comté. Nous venons simplement trouver asile et repos et pour beaucoup de mes amis découvrir l'Océan et ce nouveau Port dont tout le Royaume parle. La Rochelle devrait être fière d'attirer voyageurs de tous horizons et de constater le rayonnement de son port, mais au lieu de cela, ses habitants, par la voix de leur lieutenant nous montre un visage hostile qui ternit cette belle image. Dommage, vraiment dommage.

Enfin une dernière chose me dérange, pourquoi le seul témoin de l'accusation est également celui qui se sent offensé ? Comment cet homme peut il être objectif dans cette affaire qui le touche de si près ?

* Sur cette dernière question, la Féline se tait et se recule pour laisser la parole au procureur, n'ayant rien de plus à ajouter dans cette affaire qu'elle ne comprend vraiment pas. *

PS : remise en forme du texte (LJD felina, vous avez utilisé quoi finalement comme traitement de texte ? "Wordpad" ? C'était "Notepad" qu'il fallait prendre ^^ ! Désolé, pas réagi sur le moment )

Réquisitoire :

Citation :

Votre Honneur,

Après avoir entendu les témoignages de la défense et de l'accusation, je me retrouve perplexe. Tout d'abord, j'ai l'impression d'assister au procès du lieutenant Xedar, or ce n'est pas lui qui est l'accusé ici ! Donc, revenons-en à notre affaire et contentons-nous de faire la part des choses.
Il semble que, suite au départ en retraite spirituelle de dame Olivyaa et ce pour des raisons fort honorables, certains courriers n'aient pas été transmis à dame Allydou, ce qui est possible. Il semble que, devant l'affluence d'étrangers à La Rochelle et après la construction du port qui apporte son lot de nouveautés, un vent de panique ait soufflé sur la ville sans venir de l'Océan, d'où la réaction inquiète du lieutenant Xedar, que je comprends fort bien, étant aussi officier de police, inquiétude normale pour un responsable de la sécurité de la ville et non peur de l'étranger, le Poitou n'étant pas xénophobe ou rubicophobe, si je puis me permettre ce néologisme !
Supposons que messire Jules soit de bonne foi, ce que tend à prouver le témoignage de dame Cathycat qui est maire et conseillère comtale, il serait injuste de condamner cet homme pour son impatience et pour avoir posé ses bagages chez sa compagne qui est, elle, dûment autorisée.
En conséquence, je vais donc demander à l'accusé de se soumettre à un travail d'intérêt général, ce qu'il aurait effectué si sa demande de citoyenneté était faite dans les conditions actuelles. Avant d'en donner la durée, je tiens à préciser que je laisse sa chance à l'accusé, que je souhaite ne pas me tromper mais que, si je le revois devant cette Cour, il n'aura plus aucune clémence à attendre, même si le Roy en personne témoignait en sa faveur !
Je requiers donc une peine de présence à la mine pour une durée de 7 jours.

Voilà Votre Honneur

Courrier envoyé à l'accusé :

Citation :

Bonjour messire Jules

Je suppose que vous me connaissez au moins de nom, je suis Theudrik, le Procureur du Poitou. Je m'en viens, par cette missive, vous demander si vous êtes prêt à effectuer une semaine de présence à la mine de La Rochelle en témoignage de bonne volonté pour votre installation au Poitou. Je ne vous demanderai même pas d'en reverser une partie, juste faire ce qui est actuellement le lot de chaque nouveau citoyen du Poitou.
Si vous l'acceptez, je pourrai le dire dans mon réquisitoire et terminer ainsi ce procès qui n'a que trop duré.
Espérant une prompte réponse, je vous adresse mes salutations cordiales.
Theudrik,
Procureur du Poitou

Sa réponse :

Citation :

Expéditeur : Jules.
Date d'envoi : 2010-01-06 18:58:45
Sire Theudrik,

J'ai bien pris en compte le souhait du Poitou envers ses habitants, aussi rien ne me dérange d'user de mes bras pour une mine de sel plutôt qu'un filet de poissons. Une semaine vous dites, fort bien. Ainsi soit-il, je m'y attelle dès ce soir.
Simple demande envers ce devoir somme toute logique... Qu'en sera-t-il d'une clémence dans votre témoignage ?
Cette bonne foi vous prouvera-t-elle que je n'aurais qu'à payer une somme pour le vélin usé lors de ce dossier judiciaire ?
Les actes d'accusation seront-ils retirés à mon égard ?

Voyez-vous après telle affaire d'oubli en travail en Prévôté, de verbe en lettre, je trouverais cela assez injuste d'être toujours pointé du doigt comme coupable alors que le Poitou n'aura subit aucun mal de ma personne. Pouvez-vous donc me rassurer sur une clémence dans votre témoignage ?

Un accord me soulagerait.

A votre prochain message,
Salutations

Jules

2e Témoignage de la défense :

Citation :

*Un grand sourire de voir tant de soutien au féminin. Clin d'œil à chacune pour remerciement. Bien qu'il aimerait donner plus à une... Mais qu'importe, le Proc' se lève, et le rouquin décortique avec attention le réquisitoire. Beaucoup de choses mises de côté... Mais le marché lui plait dans un sens. Il est temps de conclure... Alors, lorsqu'on lui redonne la parole, il laisse parler sa sincérité.*

Votre Honneur,

Mon "impatience" a été il me semble justifiée. Tout vient d'un oubli au travail de la Prévôté et de tout simplement un besoin d'un toit. Rien ne fait cas au Poitou d'un acte mauvais de ma personne. J'ai au contraire mis, comme a pu dire dame Cathy, mes bras au service de la communauté pictave. Le bois à bon prix pour la mairie de Thouars et le poisson dans la même logique à la mairie de La Rochelle. Tout cela en attendant un courrier en retour.
Vent de "panique" ou pas de la part d'une majorité du peuple du Poitou, nous parlons ici d'un cas entre le lieutenant, le Comté et moi-même.

Voyez, on consent à dire que je n'ai inscrit aucune menace au Poitou tout entier devant un homme de l'ordre qui m'a manqué de respect en premier lieu et qui a surpassé ses droits ensuite. Aurais-je été mauvais envers lui dans mes réponses lettrées ? Non. Je n'ai fait que signifier ma lassitude de tels préjugés et ordres qu'il ose me donner alors que rien n'a été fait de sa supérieure après tout de même deux semaines !

En cela j'accepte de continuer à montrer que je n'ai aucun désir de destruction ou menaçant envers le peuple pictave dans la mine de sel de La Rochelle pour la période d'une semaine, et à payer les frais de dossier.

Mais je refuse d'être désigné en tant que coupable dans cette affaire aux vues des précisions de l'affaire.

On ne m'a pas répondu à mon appel. On m'a pris pour un moins que rien sans preuves et un lieutenant se donne le droit de me dire de partir, là encore sans preuves sinon des préjugés et une mauvaise humeur apparente vu le second courrier, alors que c'est le travail propre à plus haute hiérarchie.
Et enfin, on dit que je menace un Comté entier alors que je réponds simplement avec humour au courrier enflammé d'un lieutenant pour préciser que sa réaction est exagérée à mon égard.

Je ne vois pas ces travaux miniers et ces frais de dossier comme des peines mais comme des demandes de ma bonne foi. J'accepte donc ceux-ci pour la prouver.
Mais pas d'être coupable d'un trouble à l'ordre public en quel moment que ce soit.

Merci de votre écoute votre Honneur.

*Et en attendant un verdict... Le rouquin espère une compréhension de la part de la divine Justice... Pas un retour au passé limousin. Des légers sourires aux femmes venues en soutien, et un merci qui se lit sur ses lèvres avant de se tourner vers celui qui détient le pouvoir final.*

verdict rendu : relaxé

Citation :

*Le Juge écoutait les diverses interventions. Il lui arrivait de froncer les sourcils parfois sur certains propos tenus. Puis vint le moment de prononcer le verdict.*

Tout d'abord, je tiens encore à féliciter notre maréchaussée qui a fait son travail comme il se doit dans cette affaire. Le Sieur Xedar, je le pense a eu raison de suivre l'enquête et la procédure puisqu'il n'avait aucune nouvelle de ses responsables hiérarchiques.
Ses propos ont pu peut-être passé pour quelque ^peu véhément, mais alors ? La maréchaussée se doit de faire preuve d'autorité et l'autorité se reconnait aussi sur le ton employé. Il se doit dans un premier temps certes d'être cordial, mais il doit, un moment venu aussi intimider les personnes en infraction.

Pour ce point l'affaire est close. La maréchaussée a bien fait son travail. Cette histoire est surtout dû à un "cafouillage administrative et de nombreuses incompréhension dans la suite de courrier que cela a engendré.

Le Tribunal ne saurait non plus retenir les écrits qualifiés de menaçant de la part du Sieur Jules. Il s'avère après relecture que le sens de son expression soit compréhensible. Il ne menace aucunement en effet le Comté mais s'étonne simplement que nos caisses soient en mesure de financer des armées.
Je répondrai sur ce point au Sieur Jules que bien évidemment que le Comté du Poitou a de quoi financer des opérations militaires, que ce soit pour l'entrainement ou pour des opérations plus concrètes. Assurer la sécurité passe aussi par ce moyen. Et n'est-ce pas pour cela aussi, Sieur Jules, que vous avez été attiré par notre Comté. Une garantie de sécurité, un merveilleux port dans une région où la loi est appliquée et où il fait bon vivre.
Soyez tranquille sur les chemins Sieur Jules car tout brigand est lourdement chatié ici. N'ayez crainte de la sorcellerie, les sorciers sont brûlés ici. N'ayez crainte des institutions, car elle fonctionne bien, quoique l'on puisse en dire ou tout moins chuchoter. Enfin, n'ayez crainte de la justice car elle se veut toujours impartiale.

C'est pourquoi, devant votre bonne volonté avérée, de par les témoignages mais aussi vos plaidoiries, Nous nous contenterons de vous inviter à remplir le devoir qui incombe à toute personne qui souhaite obtenir citoyenneté poitevine : donner de son temps, 7 jours exactement à la mine, preuves à l'appui bien sûr.

Les frais de dossiers seront à la charge du Comté du fait de la désorganisation comtale dont vous avez eu à souffrir des désagréments.

Vous êtes relaxé pour les faits qui vous sont reprochés.

Soyez le bienvenu en Poitou. Mais n'oubliez pas, et nous l'espérons, qu'il doit s'agir ici de votre première et dernière comparution devant cette cour. Votre dossier ne laissera aucune trace si ce n'est dans ma mémoire et croyez bien qu'elle soit suffisamment affûtée pour me rappeler quelles sont les décisions que j'ai pu prendre en ce lieu.

Fait à Poitiers,
Le 10 janvier 1458
Haverocq de MArigny dit "Elra"
Juge du Poitou.

Reçu ce jour :

Citation :

Expéditeur : Jules. de Sambre
Date d'envoi : 2010-01-13 16:38:56
Sire Theudrik,

Comme promis voilà les preuves de mes travaux manuels en faveur des pictaves. Mes mains ont effleuré le sel sept jours complets...
En espérant que cela suffise définitivement quand à mon habilitation à garder une place en La Rochelle et à taire les rumeurs en notre défaveur...

13-01-2010 04:11 : Vous avez gagné 7,50 écus.
12-01-2010 04:11 : Vous avez gagné 7,50 écus.
11-01-2010 04:19 : Vous avez gagné 7,50 écus.
10-01-2010 09:02 : Le Comté vous a reversé 30,00 écus d'arriérés de salaires.
10-01-2010 04:20 : Vous avez gagné 7,50 écus.
09-01-2010 04:20 : Vous avez gagné 7,50 écus.
08-01-2010 04:20 : Vous avez gagné 7,50 écus.
07-01-2010 04:20 : Vous avez gagné 7,50 écus.

Je vous souhaite sire une bonne continuation et... A ne pas vous revoir dans telles circonstances, il va de soi.

Jules

Parfait. Dossier classé.