[Inquisition] Boyss (14/12/1458) Relaxé

Sujet: [Inquisition] Boyss (14/12/1458) Relaxé Mer 15 Déc 2010 - 14:16

Affaire Boyss :

Acte d'accusation :

Citation :: Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Dartagnan21.

De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps.

L'évèque Zippo

Témoignage de la défense :

Citation :: Moi( non il n'y à pas deux personnage , cela est tous simplement ma filleul qui est chez moi durent ces études et elle ce sert de mon pc)
Boyss: quoi moi un sorcier dois je en rire ou en pleuré, moi qui a toujours été fidèle pour le comté, le royaume, Lieutenant dans l'armée je défend nos couleurs et je donnerai mon sang et l'on ose dire que je suis un sorcier je crois monsieur le juge que vous faite erreur , voila je n'ais pas grand chose a rajouter alors s'il y a des temoins.....

Verdict du juge : Relaxé

Citation :: * Deuxième procès demandé par l'Inquisition : le juge Theudrik se gratta la tête un moment, puis prit la parole. *

Messire Boyss, nous ne doutons pas de votre bonne foi dans cette affaire, attendu que vous ne pouvez pas faire commerce de sorcellerie avec une personne qui se trouve, d'après nos renseignements, fort loin du Poitou. Toutefois, je ne saurai trop vous conseiller de faire très attention, le Malin étant particulièrement retors trouve souvent des voies fort étranges de nous tenter. Nous prononçons donc la relaxe, mais que nous n'entendions plus parler de vous ici en ce tribunal. Que cela soit dit !

* Le juge choqua son maillet sur le heurtoir et passa à la suite des audiences. *