[Inquisition/coupable] Anjia (25/04/1459)

Acte d'accusation :

Citation :

Monsieur le juge, vous avez à juger une personne dont il est absolument certain qu'elle a commis des actes de sorcellerie. Est-elle une invocation ou un invocateur ? Nul ne sait. Ce qui est assuré, c'est qu'elle a perpétré ces crimes en compagnie de Marry_loren.

De tels actes sont véritablement effroyables. Cependant, monsieur le juge, n'oublions jamais que cette ignoble créature, transfigurée par un affreux rictus qui est celui du Malin, est une créature de Dieu. Pour lui donner une petite chance d'échapper à la damnation éternelle, je vous demande donc la brûler sur la place publique.
Obéissant aux consignes laxistes du pouvoir temporel, nous allons néanmoins écouter le prévenu nous dire qui, parmi les personnes accusées, est l'invocateur, et qui sont les invocations. Peut-être, monsieur le juge, serez-vous touché par le témoignage du sorcier et ne le condamnerez-vous pas à la peine maximale. Je vous recommande, quant à moi, d'être clément envers l'âme du pêcheur, en étant sévère avec son corps.

L'évèque Zippo

Première plaidoirie de la défense :

Citation :

Votre honneur,

A nouveau devant vous, je vous dois des explications semble t-il mais je peux vous jurer qu'il n'y a pas acte de sorcellerie venant de ma part.
Je suis venue ici pour voir un ami, mais il n'était pas présent. Et j'ai comme vous le savez, un procès en cours. Je suis donc restée ici. J'ai fait la rencontre d'une dame que j'ai connu jadis, il y a vraiment bien longtemps. Nous avons sympathisé à nouveau, puis elle m'a appris pour sa maladie. N'ayant plus de nouvelles de ses amis proches elle a voulu me léguer ses biens. Et je sais bien qu'elle ne va pas s'en sortir. Pour ne pas la contrarier, pour l'aider dans ses dernières souffrances j'ai accepté de me rendre chez elle pour aller chercher tous ses biens. Elle n'avait plus le courage de rien, je pense d'ailleurs qu'elle est partie mourir ailleurs en campagne, seule, comme elle voulait. Je vous assure que je n'ai rien invoquer du tout, je n'ai commis aucun acte de sorcellerie. Je vous prie de me croire. J'essaie d'aider autour de moi. Je l'ai aidé en tout bien tout honneur. Après je ne la connais pas plus. C'est une dame plutot calme. Je ne sais pas si elle est capable de quelconques mauvaises actions mais en tout cas je n'ai assisté à rien de tel et je ne me sens coupable d'aucune faute de ce genre. Je ne pratique aucun acte de sorcellerie, je ne pourrai même pas m'y prêter, ne sachant pas comment on fait. Alors Votre Honneur j'insiste sur mon innocence. Merci de m'avoir écoutée.

*Anjia se tait alors, regarde devant elle, les yeux baissés, perdue de tout ce qui lui arrive en ce moment. En gardant son calme imposé par les événement récents, elle attend.

HRP

Il est excellent lui, faudra peut etre que quelqu'un lui explique que c'est justement ce qui est interdit par l'inquisition l'échange de mot de passe , raison de plus pour transférér des biens d'un perso a l'autre

Enfin de toute facon je vois pas ce que nous joueurs avons a juger cela... c'est du role des admins ca , j'ai jamais compris l'intéret de confier ce genre de procès a des joueurs...

Citation :

'ayant plus de nouvelles de ses amis proches elle a voulu me léguer ses biens. Et je sais bien qu'elle ne va pas s'en sortir. Pour ne pas la contrarier, pour l'aider dans ses dernières souffrances j'ai accepté de me rendre chez elle pour aller chercher tous ses biens. Elle n'avait plus le courage de rien, je pense d'ailleurs qu'elle est partie mourir ailleurs en campagne, seule, comme elle voulait.

Citation :

Le jugement a été rendu

Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de sorcellerie.
* Le juge Oane fit une moue cerise en pénétrant dans la salle d'audience. Elle n'aimait pas avoir à juger ces actes de sorcellerie pensant que cela relevait de La Très Saincte Eglise Aristotélicienne et non de la Justice temporelle. De sa voix haute et claire, elle dit :*

Attendu que la Grande Inquisition a émis une plainte contre l'accusé, plainte dont nous ne pouvons contesté
les fondements

* Oane plissa les yeux *

Attendu que l'accusé ne reconnait en rien les faicts mais avoue en effet avoir connu une âme aujourd'hui disparue et avoir hérité de ces biens

De loin, on pourrait pensé que vous avez disons ...cédé a un péché capitale celui de l'avarice, peut-être sous le coup d�une influence maligne !

Nous Oane de Surgères, baronne de Luçon, en qualité de juge du Poitou, en ce vingt septième jour du mois d'avril 1459, nous déclarons l'accusée coupable et la condamnons à se rendre prestement dans une église et à se confesser auprès d'un prêtre et à entreprendre tout rite de purification que le confesseur jugera utile puis à faire un don aux déshérités. Vous aurez également 1 écu symbolique d'amende, cette affaire étant avant tout intemporelle.
Le prévenu a été condamné à une amende de 1 écu.