Bureau du Héraut (Demandes en tout genre)

Citation :

De nous, Icie de Plantagenêt, Comtesse de Salbart, Vicomtesse de Bressuire
A Mnémosyne, Héraut du Poitou

Ce jour nous portons à votre connaissance, en tant que Héraut du Poitou, pour qu’en lieu sur, il soit approuvé, signé, scellé et conservé par vous la promesse du contrat de mariage ci jointe. Qu’il soit ainsi, sauf correction de l’hérauderie de France, jusqu’à union devant le Tres Haut, pour suite et descendance.
Nous sommes à votre disposition pour toute annotation que vous voudrez bien nous signaler.

Qu’Aristote vous garde
Poitiers, le vingt neuf septembre de cet an de grâce.

Citation :

Contrat de mariage entre Euzen de Montbazon-Navailles et Nahysse de Plantagenet de Montfort-Balmyr. Le vingt sixième jour du mois de septembre de l'an de grâce MCDLX.

A tous ceux qui liront ces présentes lettres, nous, Icie Algédor de Plantagenet de Montfort-Balmyr, Comtesse de Salbart, Vicomtesse de Bressuire, faisons savoir que, par devant dame Mathilde de Vaucansson, héraut et notaire, il est personnellement établi que le noble messire Euzen de Montbazon-Navailles, seigneur des Portes, d'une part, et que la noble damoiselle Nahysse de Plantagenet de Montfort-Balmyr, baronne de Lusignan, d'autre part, ont reconnu et confessé avoir fait et passé les accords de promesses et de convenances de mariage en la forme et manière qui s'ensuit.

C'est à savoir que le dit messire Euzen de Montbazon-Navailles seigneur des Portes a promis et convenu de prendre pour femme et épouse la dite damoiselle Nahysse de Plantagenet de Montfort-Balmyr baronne de Lusignan. Et semblablement la dite damoiselle Nahysse de Plantagenet de Montfort-Balmyr par le moyen et conseil et consentement de nobles hommes et femmes Victoire. Aulanha Pénélope Devirieux de Montbazon-Navailles, Duchesse de chasteau de Queryras, Vicomtesse de la Garde Adhémar, Dame de Saint Chaffrey et de Mirmande, Grand Bailli de l’Ordre Royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem; Alandrisse de Montbazon-Navailles de Lortz, Comtesse consort de Pesenàs, Vicomtesse de Lomagne, Vicomtesse de Cecenon, Baronne consort de Lou Piochet; Aldraien Sybell de Malemort-Carsenac, Baronne de Ussac, Dame de Chamaret et Cobrieux ; Gauvhin de Plantagenet, seigneur de Montaigu; Balian de Montbazon-Navailles, seigneur des Ferrassières; ici présents et consentants, et plusieurs autres affins par le moyen desquels celle-ci a promis de prendre pour mari et époux le dit messire Euzen de Montbazon-Navailles, Dieu de Sainte Mère Eglise Aristotélicienne à ce consentant et accordant.

Et pour faveur, amour et contemplation de ce présent mariage afin qu'il sortît plein et pur fait en Sainte Mère Eglise Aristotélicienne les dites parties précitées et devant les témoins dessus cités, ont reconnu et confessé avoir fait et passés entre eux les accords, promesses et donations en la forme et manière qui s'ensuit.

C'est à savoir que le dit messire Euzen de Montbazon-Navailles, seigneur des Portes, futur époux en faveur du dit mariage, a voulu et consenti, veut et consent par ces présentes que s'il advient que le dit Messire Euzen allait de vie à trépassement avant la dite damoiselle Nahysse sa future épouse, celle-ci lui survivant en ce cas, messire Euzen a voulu et accordé expressément en faveur du dit mariage que la dite damoiselle Nahysse, future épouse aille et prenne sur la portion des biens meublés du dit messire Euzen, la somme de mille écus, de bon or et de bon poids ou la valeur de ceux-ci, et qu’elle soit, en l’absence de descendant du dit messire et de la dite damoiselle Nahysse, la dame aurait l’usufruit pour le reste de sa vie tant seulement de toutes les maisons, héritages, cens, rentes, dîmes et autres devoirs et généralement de tous les droits de quoi elle aura porter et posséder par le cours de sa vie tant seulement.

Et semblablement a été accordé par la dite damoiselle Nahysse, future épouse en faveur du dit mariage, et devant les témoins précités que s'il advient que la dite damoiselle Nahysse allait de vie à trépassement avant le dit messire Euzen, son futur époux, en ce cas a été expressément accordé par la dite Nahysse qu’elle veut et consent par ces présentes et en faveur du dit mariage que le dit messire Euzen soit seigneur en usufruit pour sa vie durant tant seulement de toutes les maisons, héritages, cens, rentes, dîmes et autres devoirs et généralement de tous les droits de quoi elle aura porter et posséder par le cours de sa vie tant seulement.

Il a été également accordé entre les dites parties et en faveur du dit mariage que s'il advient que damoiselle Nahysse, future épouse, ait descendants et qu’ils soient reconnus par le dit messire Euzen de Montbazon-Navailles, seigneur des Portes, comme issu du dit mariage et que ce soit un mâle, en ce cas la dite damoiselle a voulu par les moyens et faveur de ce mariage, a voulu et consenti, veut et consent par ces présentes que le dit descendant du dit messire Euzen et de la dite damoiselle Nahysse, soit baron de Lusignan et des appartenances de celle-ci, que le dit messire Euzen soit seigneur en usufruit jusqu'à la majorité de l'enfançon.

Il a été, de plus, accordé entre les dites parties et en faveur du dit mariage que s'il advient que damoiselle Nahysse, future épouse, ait descendants et qu’ils soient reconnus par le dit messire Euzen de Montbazon-Navailles, seigneur des Portes, comme issu du dit mariage et qu’il n’y est aucun mâle héritier, en ce cas le dit messire Euzen a voulu par les moyens et faveur de ce mariage, a voulu et consenti, veut et consent par ces présentes que la dite descendante du dit messire Euzen et de la dite damoiselle Nahysse, ait pour dot à sa majorité la baronnie de Lusignan et des appartenances de celle-ci, que le dit messire Euzen soit seigneur en usufruit jusque là.

De plus, il a été accordé entre les dites parties et pour faveur du dit mariage que les futurs époux devront vivre en la même demeure par le cours de leur vie commune tant seulement. Car ainsi a été accordé, fait et passé en faveur du dit mariage.

De plus, il a été accordé en faveur comme précité que s’il advient que le dit messire Euzen, futur époux, ait descendants et qu’ils soient reconnus par le dit messire Euzen, comme issu hors union légitime du dit mariage, en ce cas le dit messire Euzen a voulu par les moyens et faveur de ce mariage, a voulu et consenti, veut et consent par ces présentes que la dite damoiselle Nahysse reconnaisse et consente la responsabilité de l’éducation des dit descendants, tolère et consente la vue et la présence dessusdit au sein de la cellule familiale.

Et semblablement a été accordé par la dite damoiselle Nahysse, future épouse en faveur du dit mariage, et devant les témoins précités qu’eut égard à la notoriété de la famille Plantagenet dont est issue la dite damoiselle Nahysse, qu’eut égard à la famille de Montbazon-Navailles dont est issu le dit messire Euzen, qu’une fois le présent mariage conlus et acté par les moyens précités, la dite damoiselle Nahysse portera alors la dénomination de « Nahysse de Montbazon-Navailles de Plantagenet ».

De plus, il a été accordé en faveur comme précité que toutes autres choses dont n'est faites expresse mention en ces présentes seront et demeureront en faveur du dit mariage es us et coutumes du seigneur des Portes.

De plus, il a été accordé entre les dites parties et leurs témoins que ces présentes lettres seront faites et refaites une fois ou plusieurs selon la diction et ordonnance de la Hérauderie de France, la substance du fait nommée pour tenir fermeté comme faveur de mariage donné et requiert. Car ainsi ont été passées, accordées les choses précitées et chacune d'elles, entre les parties par devant le dit juré.

Promettants :

Euzen de Montbazon-Navailles,
Nahysse de Plantagenet de Montfort-Balmyr

Donné témoins :

Victoire. Aulanha Pénélope Devirieux de Montbazon-Navailles, Duchesse de chasteau de Queryras, Vicomtesse de la Garde Adhémar, Dame de Saint Chaffrey et de Mirmande, Grand Bailli de l’Ordre Royal des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem
Alandrisse de Montbazon-Navailles de Lortz, Comtesse consort de Pesenàs, Vicomtesse de Lomagne, Vicomtesse de Cecenon, Baronne consort de Lou Piochet
Aldraien Sybell de Malemort-Carsenac, Baronne de Ussac, Dame de Chamaret et Cobrieux
Gauvhin de Plantagenet, seigneur Saint-Georges de Montaigu
Balian de Montbazon-Navailles, seigneur des Ferrassières


Le ... jour du mois de septembre de l'an de grâce MCDLX.
Signé
(héraut pour le Poitou : Mathilde de Vaucansson. )

Bonjour Poitou,
Auriez-vous la gentillesse de bien vouloir enregistrer mes vassaux dans les registres du Poitou je vous prie ?

Voici les documents :

Spoiler:

Pardon de demander une chose peut-être toute bête, mais vu que je suis marié à Mariechen, dame de Chadeleuf, disposons-nous l'un et l'autre du fief du conjoint ou pas, ce qui inclut les droits et les devoirs qui y sont rattachés ?

Ce n'est pas qu'on veuille en rajouter sur notre CV, mais par exemple, dois-je allégeance au suzerain de mon épouse (puisque c'est une seigneurie issue de mérite) et Mariechen doit-elle allégeance au Comte du Poitou suite à notre mariage ?

Merci de votre réponse.

Se faufile derrière Theud pour compléter ses questions.

Moi aussi, j'ai des questions ! Vous avez de la chance, j'en ai déjà posé une partie à Davor, mais il en reste quand même pour vous.

Petit sourire au héraut avant de poursuivre.

D'après ce que votre oncle m'a expliqué, nos fiefs sont désormais partagés, mais pas les obligations qui s'y rattachent. Ce qui signifierait pas d'allégeance pour Theudrik à ma suzeraine auvergnate, ni pour moi au Comte du Poitou.

Elle lance un regard amusé au-dit Comte à ses côtés.

En revanche, il m'a indiqué qu'il nous fallait désormais porter un blason commun, dont la réalisation je crois vous revient, même s'il n'y a pas urgence en la matière. Et je m'interroge sur les règles à respecter lorsque nous nous présentons ou signons un document : quelle seigneurie faut-il citer en premier ? Celle que chacun a reçu personnellement en premier, puis celle de l'autre en second ? Ou n'y a t-il pas d'ordre particulier ?

[Et une dernière plus HRP : la cérémonie du mariage a officiellement eu lieu le 12 octobre, le RP est en cours, mais il risque de durer longtemps : pas de certificat de mariage avant un moment donc. Faut-il se baser sur le certificat pour acter le mariage et donc les changements qui vont avec, ou est-ce la date du 12 qui fait foi ? Tout le monde a plutôt considéré jusqu'à présent que c'était le 12, je me suis donc basée là-dessus pour changer Marie en Comtesse consort, mais au cas où, j'aime autant avoir une confirmation Et conséquence directe : dois-je indiquer dans ma signature "Comtesse consort du Poitou" dès à présent ? Si oui, j'imagine que c'est valable pour tous les forums ?]

[Moi j'ai la réponse HRP !
RP votre mariage se déroule sur un seul jour : le 12 octobre. Sur le certificat, j'indiquerai donc la date du 12 octobre. Il n'y aura donc qu'une date, ça va vous simplifier déjà une chose ! ]

[Une seule date, ça c'est sûr ! Mais ma question est : sans avoir pour l'instant le certificat, le mariage est-il reconnu par la hérauderie ? J'ai trouvé en chambre des nobles du BA une citation de la Hérauderie Royale de France, d'il y a un an - suite à l'apparition du mariage IG - qui dit "La transmission de l'acte à la Hérauderie par le couple valide le port des armes combinées." Si c'est toujours d'actualité, ça voudrait dire qu'on n'a pas le droit pour l'instant de porter les deux titres, mais qu'en est-il de la Comtesse : on la sort ou pas ?! ^^]

La comtesse déposa un double de son courrier adressé à Montjoie et Flandres, ainsi qu'en chambre de noblesse

Citation :

A Montjoie, Roy d’armes de France
A Flandres, Maréchal d’Armes
De nous, Icie de Plantagenêt, comtesse de Salbart, vicomtesse de Bressuire

A ce jour, après avoir fait preuve d’une patience infinie, nous portons à votre connaissance un abandon des devoirs incombant à Poitou quand à la tenue de sa charge.
Dés sa nomination, nous avons contacté Poitou pour que soit clos plusieurs dossiers concernant le vicomté de Bressuire, oralement et par notre lettre du onze octobre. En douze la réponse nous assurait qu’il ne tomberait pas dans l’oubli et que le processus de confirmation était en cours.
Nous en sommes fort aise . Et depuis, aucune nouvelle.

Nous vous les citons :
- Demande d’octroi de la seigneurie de Chiché à messire Zarathustras, datant du 3 juillet 1459 qui suite à une modification de Mnemosyne portera sur Glenay.(Patente ci jointe)
- Demande d’octroi de la seigneurie du Petit Puy messire Slim, datant du 20 juin 1460
- Confirmation ou infirmation de la liste des seigneuries dépendantes de Bressuire pour lesquels nous sommes sans réponse depuis le dernier courrier privé de Poitou en date du 12 octobre et qui concernent entre autre, des seigneuries déjà octroyées.

Vous trouverez en pièces jointes le dossier complet.

L’octroi des seigneuries précitées ne porte à aucune contestation puisqu’elles figurent depuis 1456 dans les dépendances de Bressuire et sont également citées par Mnémosyne.

Outre que nous n’avons pu faute de la présence de Poitou, prêter allégeance à notre comte, nous nous inquiétons de ceux que nous avons choisis pour être nos vassaux et qui, pour des raisons administratives, sont toujours dans l’attente.
Nous nous joignons également à la démarche de Sa Grandeur Lafa de Bisac, comtesse du Poitou.

Nous espérons que cette lettre permettra l’aboutissement d’un dossier qui n’a que trop duré.
Avec nos salutations

Poitiers, le vingt deux, novembre 1460
Icie de Plantagenêt

DOSSIERS BRESSUIRE

Spoiler:

Patente Seigneurie de Glénay

Citation :

Nous Icie de Plantagenêt, Comtesse de Salbart, Vicomtesse de Bressuire,

Souhaitons, compte tenu des valeurs qui l’anime, son indéfectible fidélité et son service auprès de nous, octroyer à sieur Zarathustras notre seigneurie de Glénay, sise sur nos terres du Vicomté de Bressuire.
Nous espérons ainsi que ses qualités de gestion feront prospérer cette terre que les celtes nommaient Glennacum .

Pour valoir ce que de droit,
Ce vingt deux novembre 1460, en notre château de Bressuire

Apres la réponse de Montjoie en date du 24/11, la comtesse portait desormais un double de toutes ses lettres à l'herauderie du Poitou et à la Chapelle afin que nulle trace ne soit perdue et historique gardée.

Citation :

A Montjoie, Pair et Roi d'Armes de France
A Alençon, maréchal d’Armes
De nous, Icie de Plantagenêt, Comtesse de Salbart, Vicomtesse de Bressuire


Nous avons pris note que notre vassale, à réception de votre courrier du 24 novembre, Dame Merveille du Mounet conservera la seigneurie de Saint Porchaire tant que nous lui conserveront notre confiance et jusqu'à l'appel du Tres Haut.

Nous vous signalons que, contrairement aux titres que vous nous attribuez, nous sommes vicomtesse de Bressuire et non baronne.
Mais sans doute est ce là une erreur d'écriture dans votre lettre.

Nous apprenons qu'après Flandres, c'est désormais Alençon qui a charge du Poitou.
Nous espérons qu'après tous ces changements, les deux seigneuries que nous souhaitons octroyer pourront enfin être attribuées officiellement.

Nous rappelons que l'une des demandes date du 3 juillet 1459 (seigneurie de Chiché pour messire Zarathustras) . Plus d'un an!
Que à la suite des modifications apportées par Mnemosyne pendant cet été 1460, nous avons du refaire cette demande le 2 novembre 1460. Nous l'avons rédigé de bonne grâce pour nous conformer aux modifications précitées (Glenay au lieu de Chiché) et mettre fin à cette attente.
Mais vous comprenez bien, que nous ne pourrions croire que cette demande attendrait encore une année, même un semestre, même un trimestre.
Par respect pour notre volonté, par respect pour celui que nous avons choisi, tel nouveau délai nous paraitrait insultant.

Nous rappelons également que notre demande du Petit Puy pour messire Slim, datant du 20 juin 1460, n'est, elle non plus, toujours non officialisée.

Nous avons pris soin que les deux seigneuries précitées soient parmi celles qui n'ont pas été remises en cause par Mnémosyne et ne puissent donc porter à contestation pour leur attribution officielle.

Enfin, nous sommes toujours en attente d'une réponse définitive quand à la liste des seigneuries mouvantes de Bressuire.

Nous joignons de nouveau à l'intention d'Alençon, cette fois , comme nous l'avons déjà fait à Flandres, copie du dossier ainsi que les patentes pour les seigneuries à octroyer.
Au cas où ceux ci se seraient égarés entre les bureaux des différents hérauts ou maréchaux d'armes qui se sont succédés.

Nous voulons encore croire à l'aboutissement dans de brefs delais de nos demandes.
Nous nous refusons à voir dans ces retards un mépris pour notre personne, nos terrres, notre volonté et par la même notre comté.

Que le Très-Haut vous garde.
Donné le sept décembre de l'an de grâce MCDLX.

DOSSIERS BRESSUIRE

Spoiler:

Dame Mariechen, je vous conseille de vous rendre directement à la Chapelle des Herauts, à Paris.
Je crains qu'en ces murs personne ne vous entende

(forum1)

Citation :

Nous, Ingeburge von Ahlefeldt-Oldenbourg, Roi d'Armes de France, et ainsi connue sous le nom de Montjoie,

Savoir faisons à tous présents et à venir qu'afin de pallier la désaffection impromptue et injustifiée de maître Stannis de Xaintray, Héraut d'Armes royal du Poitou, nous choisissons de dépêcher et dépêchons auprès de la noblesse poitevine dame Mathilde de Vaucanson Joncheray, Héraut d'Armes royal connu sous le nom de Mnémosyne. Icelle sera chargée de la gestion courante de la marche poitevine et aura toute autorité pour ce faire, le temps que nous éclaircissions ce qu'il est advenu de Poitou et que nous décidions de l'avenir d'icelui au sein de la Hérauderie de France.


En foi de quoi, afin que ce soit chose stable et ferme à toujours, nous avons signé de notre main et fait mettre et apposer notre sceau à cette présente annonce par nous faite et passée et donnée le dix-huitième jour de décembre de l'an de grâce MCDLX.

On est reparti pour un tour.... decidement un vrai jeu de chaises musicales tout ça. Bon au moins elle connaissait les plus gros dossiers.

Bonjour dame. Il me faudrait, pour faire votre compositions, tous vos blasons a vous et votre epoux. Ainsi que les ornements de chacuns (cry, devise, collier) si il y a. Merci !

Comtesse je m'occupe de vous rapidement. Promis.

Le baron s’impatiente et a l'air de passer pour un meuble.

Dite chère Hérault, serait il possible de finaliser mes deux seigneuries .
J'ai était bien gentil de laisser passer les plus pressés, mais faudrait pas me prendre pour un jambon.

Juste pour vous mentionner ma patience, cela date du mois d'Avril...nous sommes en décembre.
Moult messages privés vous ont été envoyer, si vous les avait garder, vous retrouverait nos différentes interventions.

Cela concerne les deux seigneuries ci dessous.

Citation :

- La seigneurie de Priaire
- La seigneurie de Courpigny.