[coupable][Présence illégale] Yorkshire ( 13/06/1456 )

Arrivée à Poitiers de Yorkshire.

Citation :

Pays : Royaume de France
Comté/Duché : Duché d'Anjou
Village : La Flêche

Niveau : 1
Points de réputation : 15
Argent : 8

Yorkshire cultive du blé.

Elle porte un bâton.

Courrier envoyé :

Citation :

Bonjour,

Toutes les frontières du Comté du Poitou sont fermées sur ordre du Comte à compter du 23 novembre 1455 et ce jusqu'à nouvel ordre. Tous les étrangers sont invités à quitter le territoire du Poitou immédiatement. Les saufs conduits peuvent être demandés au Prévôt des maréchaux, Sieur Yuan.

Vous n'apparaissez pas sur la liste des laissez-passer.
Des poursuites judiciaires peuvent être entamées à votre encontre si vous restez sur le sol Potevin.
Toutefois, si vous bénéficiez d'une autorisation, merci de m'en faire part.

Frigien, police de Niort

P.S. : Maintenant si vous rencontrez des difficultés pour exécuter cette injonction, contactez-moi au plus vite, je ferais mon possible pour vous aider.

paix à son ame

[Edit: Elle était marqué morte dans mon recensement du 13 Juin!?!]

Elle est morte

Elle a quitté Poitiers ce matin.

Zou direction procu !

Procés lancé !!!

arrivé a La Rochelle avec baton

arrivé a Saintes le 16/06

C'est fou comme un proces ouvert accelere leur pas.... non ?

La prévenue s'est manifestée :



Dois-je lui proposer quelque chose ?

Bonjour Xavix, si le prevot est d'accord, dites lui qu'il sera tenu compte de son courrier en sa faveur et qu'il viennent preciser dans son plaidoyer les causes qui le retiennent à Saintes.

Merci pour avoir transmis ce courrier.

Verdict rendu.

J'ai fait preuve de clémence envers cette pauvre dame Yorkshire. Elle me semble un peu perdue et paniquée avec cette affaire de laisser passer. De sucroit elle est paysanne et sa solvabilité n'est pas certaine pour le règlement complet de l'amende (cf Charte des juges).

Allons pour une fois soyons bons.

Citation :

*Le juge sourit à la première phrase du réquisitoire de la Procure. L'atmosphère semble détendu.*

Je peux vous garantir Sieur le Procureur qu'en aucun cas, quelque fut l'époque, une mémé ne m'a ciré... Je crois qu'il était bon de le spécifier avant de rendre verdict concernant cette "petite affaire" de laisser passer.

Suite aux plaidoiries effectuées par Dame Yorkshire, cette angevine me semble de bonne foi. Certes nul n'est censé ignoré les lois du Comté qu'il traverse, mais je préfère lui octroyer le bénéfice du doute.

Elle porte un nom à consonnance angloise, mais là n'est pas le sujet. Il serait déplacer de retenir un chef d'accusation correspondant à son Duché d'origine. Là n'est pas la question non plus.
Son passé ne semble pas trouble au regard de ce que l'on a dans le dossier et les archives.

Pour une fois Dame Yorkshire, vous offrez au Juge poitevin de montrer sa clémence et par là même celle du Comte.

Vous n'êtes pas suffisamment solvable pour régler l'intégralité de l'amende demandée par le Procureur, certainement du fait de votre statut de paysanne.

Je ne peux donc vous réclamer qu'une amende de 18 écus frais de dossier compris. Le résidu qui vous est laissé vous suffira amplement à aller épancher votre soif en taverne et ainsi oublier ce mauvais moment passé en notre compagnie.

Et que l'on ne vous y reprenne plus.

Fait à Poitiers, le 18 juin 1456,
Haverocq Chénaneguène,
Juge du Poitou.