Allégeances Oane de Surgères (Juin 1459)

Hop hop hop ne pas perdre de temps cette fois. A peine le Général relevé, elle se prépare et quand la place est complétement libérée, elle se faufile parmi les rangées de sièges, la plupart vides désormais, pour venir se présenter devant la Comtesse en mettant un genou au sol.

Nous, Allydou de Lisaran, Dame de Maillezais, renouvellons notre serment d'allégeances à notre Comté du Poitou et à votre Grandeur, sa représentante.
Nous jurons obéissance, conseil et fidélité.

Hum c'est peut être un peu brouillon, un jour elle apprendra à le faire un peu mieux, mais l'attente... ben ça lui fait perdre ses mots.

Oane enserre l’accoudoir de sa poigne blanche alors que Dalme Allydou prete serment. La comtesse de Poitou a bien du mal à se concentrer alors qu'elle sent le parchemin dans sa main et les mots lui brûler la peau. Une cérémonie d'allégeance ne peut etre interrompue. C'est l'us qui veut cela. La baronne de Luçon le sait mais le coeur d'Oane, fille de Fao, bat au rythme de temps qui s'écoule et emporte avec lui ces dernières paroles, ces derniers regards, ces derniers souffle que son père vit... encore ...loin d'elle. Elle darda son regard bleu sur la chevelure de Allydou ety le coin de so visage qui apparaissait en dessous.

Nous, Oane de Surgères, comtesse de Poitou, vous accordons a vous Allydou de Lisaran, Dame de Maillezais, Protection Justice et Subsistance.

Bien conscient que quelque chose n'allait pas au vu du changement soudain de teint et de traits du visage, Xavix fit signe a son épouse de le suivre emboitant le pas a leur amie Allydou.

Il se présenta donc devant la comtesse, posa la pointe de son épée au sol, s'agenouilla, et d'une voix claire et franche il dit

Nous Xavix, Baron de Beaurepaire, une nouvelle fois devant cette assemblée de la noblesse de notre beau et grand Poitou, et au nom de mon épouse Carmena et de moi même, vous renouvelons allégeance, et sommes fier de nous présenter devant vous ce jour pour vous promettre fidélité, aide et conseil en tout temps et toutes circonstances. Mettons notre épée et notre vie à votre service pour la grandeur du Poitou.

Oane darda son regard immense et bleu presque vide sur ce couple qu'elle appréciait beaucoup et un peu de vie revint dans ses prunelles. D'une voix un peu rauque elle dit :

Je vous accorde avec grand Joy ma Protection durant mon règne et au delà, à vous et à vous descendants, la Justice et la Subsitance à vous qui je le sais chaque jour que le Très Haut faict vouez vostre vie au Poitou et à ses intérêts, toujours à éclairer le chemin des Justes de vos lumières.

Qu'Aristote veille sur vous et vostre famille mon ami.

Citation :: Cher sire Gauvhin de Plantagenet vous estes bien généreux, mais je ne saurai accepter un tel present ayant moi mesme deux crécerelles soit une de trop pour une seule femme

Oane lui sourit d un regard entendu puis sentant que les Garion s impatientaient, laissa Gauvhin pour retourner sur le trone. Elle écouta Cyphus faire ses allégeances tut en dardant son regard ocean sur le couple

Oh bien, oui cela fait beaucoup, je trouverai bien un autre présent.

Lui rendit son sourire et laissa la nouvelle comtesse à la cérémonie, profitant pour se retirer et salua quelques personnes

Poitevin Pure Souche Nombre de messages : 697 Date d'inscription : 14/10/2006

Theodebert s'avança, tt le monde était passé, il ne restait plus que lui.

Posant le genou à terre devant le trône comtal, il dit :

Moi, Theodebert de Chadignac, je vous renouvelle mon allégeance, et vous promets fidélité, aide et conseil en tout temps et toutes circonstances. Je mets mon épée et ma vie à votre service pour la grandeur du Poitou.

Oane posa son regard océan un brin délavé par les circonstances qui s'annonçaient difficiles et releva le menton

Nous oane de Surgères à ce jour comtesse de Poitou sommes heureuse de vous accorder comme le fit Protection, Justice et Subsistance.

Voir un homme tel que vous servir encore et toujours l'OST poitevine règne après règne avec une ferveur sans cesse renouvelée montre que nostre comté dispose encore d'hommes de poigne au coeur pur. Je sais que vous avez combattu par le passé aux cotes de mon Infinie Grandeur de pere

Les océans s'embuent menacent de déborder, la voix devient basse, un brin rauque, puis elle relève le regard, sa main aux phalanges blanches crispée sur l’accoudoir et dit d'une voix claire :

Et si vostre vigueur est restée mesme, je ne souhaite pas pour autant que vous ayez à nouveau besoin de démontrer vos talents guerriers préférant oeuvrer pour la paix et la prospérité de nostre comté et du royaume..

Si la comtesse avait su ...
Elle chercha du regard sa mère dans la pièce. Le Hérault, sire Eragon, s'approcha et vint lui dire deux mots à l'oreille, elle hocha la tête.

La cérémonie touche à sa fin,

La comtesse Olyviaa a disparu, nostre hérault se chargera de tâcher de la retrouver. Damejustine et dame Zalina se sont retirées au couvent et sont adonc excusées.

Il ne reste plus que ...

La voix d'Oane faiblit, elle aurait voulu commencre par "mon Infinie Grandeur de père", elle dit dans un souffle :

Lady de Surgères, ma doulce mère

Soudain, un remous. Tous les visages sont tournés vers elle. Lady, les bras ballants cligne un instant des yeux sous le poids de l'expectative publique.

Euh... Oh... Évidement...

Toute aux évènements récents, elle n'avait pas pensé à...

Faisant fi de sa tenue inappropriée, la Comtesse prend une inspiration, lève le nez et avance le long du tapis petit à petit libéré de sa foule comme si elle était vêtue d'apparat. Sa fille est au bout du chemin.
Si Lady n'était pas poursuivie par la tristesse de perdre un époux jamais aimé ni désiré, une tristesse la rattrape pourtant bel et bien. Celle qui menace de déborder des yeux de son enfant, aussi bleus aussi liquides que l'océan.

Tentant de sourire à sa fille pour lui donner le réconfort dont elle aurait tant besoin si elle n'était là, ligotée dans prestance, siégeant face aux nobles de son peuple, la Comtesse prononce les quelques paroles que le protocole attend d'elle.

Nous... L'espace de quelques battements de coeur, la voix de la comtesse s'éteint... Elle n'avait jamais aimé parler d'elle au pluriel et avait toujours pensé qu'elle parlait ainsi au nom de la famille, énonçant souvent se présenter en représentante des De Surgères. Qu'en reste-il aujourd'hui? Et quelle étrange chose qu'un hommage à sa propre fille... Elle avait déjà fait ça pour son époux, aussi inutile que ce soit mais c'était pour le décorum... Quelle fierté il aurait tiré de ce jour, de cette cérémonie.... Sa tête à couper qu'il aurait fait des pieds et des mains pour se tenir à ses côtés tirant la couverture à lui! Lady lui en veut subitement d'avoir rater aussi cela, de lui gâcher ces moments là aussi, de faire souffrir Oane... aussi. Une bouffée de colère distille à son insu la vague d'adrénaline qui déferle dans son sang.

... Lady d'Elric de Surgères, nous présentons ce jour devant vous, Oane de Surgères afin de déclarer vous reconnaître officiellement comme Comtesse légitime du Poitou et voir en vous notre suzeraine à laquelle sont promis l'aide, le conseil et la fidélité.
Puisse le Poitou rayonner tout ce que je sais que tu ambitionnes pour lui. Puisses-tu mener les Poitevins sur le chemin de l'idéal auquel nous aspirons tous. Ma Fille, tu as toute ma confiance. Puisse Aristote te guider à travers les épreuves...

Retenant son souffle, n'osant imaginer la tempête de sentiments privés animant la digne représentante du Poitou sur son trône, Lady attend que sa fille la libère puis soit libérée de son rôle socio-politique afin de pouvoir la guider dans une épreuve existant depuis la nuit des temps, tel un rite de passage qui efface définitivement toute trace de l'enfance, la perte d'un parent.

Obsequium, auxilium et consilium, ce n'est pas en politique que Lady lui sera le plus utile à la petite Oane. Survivre et exister par elle même dans l'ombre de son père l'a forgée dix fois plus solide que n'importe quel requin. Mais combien de fois le velours parant le fer sera-il rapé?

Telle une prière pudique, le coeur de Lady vibre en résonance du chagrin visible et invisible de sa fille:

Ô, Oane, tu es le seul cadeau que ton père ne m'ait jamais fait, le seul bonheur personnel qu'Aristote m'ait offert en compensation de tous les sacrifices exigés en Son nom.
Oane je t'aime et aucune mère ne sera jamais aussi fière du chemin parcouru seul par son enfant.

Sa mère toujours élégante avance défaite, ce qu en dit long sur les heures de veille au chevet de son père et malgré la mise, elle a le port d'une reyne. Le coeur d'Oane rate un battement, voir sa mère s'agenouiller devant elle lui parait supplice insupportable
Étrange dessin est-ce la qu'une mère devant prester allégeance à sa fille et pourtant combien de parentèle connaissent les affres de la trahison ? Sans aucun doute, le serment a-t-il ses raisons d'être que le coeur ne connais poinct ; toutefoy, Oane n'a onc douté de l'Amour de sa Mère une seule foy dans sa vie. Cet amour elle le respire en mesme temps que l'air depuis sa naissance, tout autre serment que celui du coeur parait bien falot en comparaison. Elle lui tend la main et la relève avant de prononcer les paroles rituelles

Lady d'Elric de Surgères, nous, Oane de Surgères, sang de vostre sang, chair de vostre chair, nous recevons vos allégeances formelles tout en sachant qu'il etys fort inutile puisque vostre aide, conseil et fidélité m'est acquises depuis le jour ou vous m'avez mise au monde.
Nous vous accordons en retour durant ce règne et pour la vie, nostre Protection, Justice et Subsistance à vous ma doulce mère et à mon Infinie Grandeur de Père, Faoeeit de Surgères.

La force des mots, son Nom, ne pas l'oublier, faire en sorte qu'il soit là encore ... mesme qu'il n'a pu venir en personne, une sorte de conjuration, un appel à la Mort à passer son chemin, à le laisser vivre encore, comme elle l'a fait déjà il y a quelque temps. Oane ferme ses océans pour ravaler les vagues tumultueuses qui menacent de jaillir. Pas icelieu. Pas maintenant.

Oane oublie que le Hérault n'a pas encore prester allégeance, se penche et dit d'une voix tendue vers les aigus à l’oreille de Lady

Est-il ... ?

Lady est furieuse. Oh oui. Furieuse contre l'ironie de la vie.
Comment encaisser avec tant d'impuissante la détresse de sa fille face à la disparition d'un être qu'elle a toujours profondément détesté. Même si le temps a adoucit son aversion, au moins face aux indéniables qualités de dirigeant de l'homme, il est toujours resté parfaitement odieux avec elle. Quant a ses relations avec sa fille... il faut vraiment avoir des yeux de fillette éblouie par la toute puissante paternelle pour tout interpréter en fonction de son cœur. Ou alors, Oane aurait-elle su décrypter quelques choses que l'homme cachait sous sa montagne d'arrogance? A laquelle elle se serait montrée elle-même insensible, aveuglée par... Non bon sang, c'est Faooeit...
Des heures qu'elle passe à guetter son trépas, parfois blêmissante d'un tel départ, parfois rougissante de honte d'attendre une sorte de libération.
Un murmure s'échappe des lèvres d'Oane...

Est-il ... ?

Comment lui dire? Des semaines, des mois que Son Infinie Grandeur n'est plus.

L'homme, lui, alterne les longues phases comateuses pour ne se réveiller que transitoirement, amaigri, vieilli.
La conscience de l'homme semble parfois s'agripper au personnage, réclamant des nouvelles de "ses affaires" sans en écouter réellement les réponses ou refusant toute visite officielle, ne voulant guère se montrer sous un jour autre qu'avantageux.

Jour après l'autre, le dernier instant était attendu. Formalité de la dernière consultation, cette fois, le corps rend les armes. Aussi vaillante que reste la volonté de l'esprit, les organes vacillent les uns après les autres. Question d'heures ont-ils dit....

Le regard de la mère accroche celui de la fille... A peine perceptible, de la tête, elle lui offre l'espoir d'une infime dénégation.

Le Vicomte d'Aulnay suit la cérémonie avec intérêt, voyant les Nobles défiler les uns après les autres. Un instant il se dit que Davor manque à l'appel, puis sourit. Et oui, bien sur, l'ironie du sort. Datan avait fait la même erreur. Rendre ses terres ne change rien à l'affaire, la Noblesse ne se meut qu'aux allégeances et encore... Heureusement, une belle poignée de Nobles est encore active, fidèle et engagée, là sont leurs plus grands titres. Quelques nouveaux Seigneurs, dont Datan sait qu'ils apporteront un peu de dynamisme... Et même Faooet ne se déplace pas. Qu'il ne soit pas venu à ses allégeances, passe encore, mais celles de sa fille... Il a appris à mieux le connaitre, soit, en côtoyant Oane, mais au final... Il ne reste de lui que des actes de bravoure, mais de l'homme ?

Datan se rend compte que ses pensées s'envolent et ses yeux maintenant reviennent sur la cérémonie. La belle et Grande Lady fait face à sa fille. Il est rappant de voir l'unité qui les lie, la beauté partagée et la force de caractère. L'instant est troublant, elles sont toutes deux émues... Trop...
Datan tourne la tête un instant. La Comtesse serait venue sans son mari ?

Ses yeux se plissent soudain, voyant quelques mots échangés entre la mère et la fille. Brefs, inaudibles, les lèvres tremblantes...

Serait-ce... ?

la cérémonie touchait à sa fin et c'est la comtesse lady, mère de oane qui venait à son tour lui rendre hommage.
grand moment d'émotions entre ces deux femmes dont le destin fut guidé par un homme au caractère unique !
à ce propos, les voyant discuter sans pour autan pouvoir entendre, kiriell était curieux de savoir où en était la santé de faooeit qu'il n'avait pas rencontré depuis bien longtemps et dont il estimait peu recommandable de le faire aujourd'hui, alors qu'il ne l'avait jamais fait jusque là.
le seul respect pour son épouse et sa fille le forçait à vouloir prendre nouvelles afin de ne pas les blesser par une absence de trop auprès d'elles d'autan qu'il venait de jurer assistance à sa grandeur.

il patienta alors dans son coin, savourant les victuailles et se mêlant à la noblesse présente encore.

Et le trouble s'était installé depuis que la Comtesse de Surgères avait glissé un mot à la Régnante. Tête déconfite après chaque allégeance prononcée, il était temps d'en finir et le Héraut était maintenant le dernier à devoir passer.
Il s'approcha donc du trône laissant Lady légèrement de côté et s'agenouilla, le tabard fleurdelysé laissé près du pupitre.

Moi, Eragon de Lisaran, Héraut du Poitou et seigneur de l'ile d'Yeu vous reconnait vous Oane de Surgères comme Comtesse régnante du Poitou et vous jure par conséquent fidélité aide et conseil.

Dans les immenses yeux océan de la comtesse o put lire un instant d'éternité une soulagement, enfin elle allait pouvoir quitté ce lieu pour se rendre au chevet de son père pourvu qu'il ne soit pas trop tard se dit elle écoutant distraitement l'allégeance de sire Eragon dont la fidélité au Poitou n'était par ailleurs pas à prouver. Elle le regarda puis lui dit les mots rituels de sa voix haute et claire rendue u peu rauque par l'émotion qui l'étraignait.

Sire Eragon de Lisaran, Héraut du Poitou et seigneur de l'ile d'Yeu , nous vous accordons bien volontiers à vous et vostre famille, Protection, Justice et Subsistance pour la durée de nostre règne.

Que le Très Haut veille sur vous.

Elle lui laissa le temps de se relever puis lui glissa à l'oreille

je me chargerait de répondre au courrier comme la coutume l'exige demain.
Pour l'heure, je dois me rendre au chevet de mon Infinie Grandeur de Père s'il n'est poinct déjà trop tard ..

La comtesse se mit debout puis darda son regard océan sur la foule et dit à voix haute et forte à l'Assemblée.

Vous n'êtes pas sans avoir remarqué l'absence de son Infinie Grandeur le comte Faoeeit de Surgères, mon père.

Ma doulce mère Lady vient de m'annoncer qu'il...
que ...
que la fin est proche.
Je m'en vais adonc à son chevet immédiatement.

Je sais qu'il avait parmi vous des proches.
Il apprécierait de vous voir une dernière foy tous unis derrière lui...

Oane ferma ses paupières un court moment. Elle avait dû marquer quelques pauses oratoires tremblantes dans le silence sépulcral tant ces paroles restaient coincées au fond e sa gorge prit sa mère sous le bars et les deux De Surgères quittèrent la salle.

Le temps des cerises touchait à sa fin.

Un page en livrée aux couleurs du Poitou vint livrer un paquet de missives dûment scellée et close par un ruban bleu en l'Office du Herault d'Armes, sire Eragon de Lisaran.

Citation :: Blanche Von Strass, Dame de Lussac les chasteaux en Poitou,
à vous qui veillâtes sur mon enfance avec tendresse

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut veiller sur vous, ma chère Esperanza, ainsi que vos proches.

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Citation :: Nina, dame de Magné

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut veiller sur vous, ainsi que vos proches.

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Citation :: Pano , seigneur de Civray,

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.
Nous espérons que vous trouverez ce que vous cherchez que ce soit dans ces ailleurs lointain ou vous avez choisi de voyager ou en terre Poitevine, onc ne sait : parfoy, c'est chez soi que l'on finit par trouver ce que l'on a cherché en le vaste monde.

Puisse le Très Haut veiller sur vous, ainsi que vos proches.

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Citation :: Ventreachoux de Beaupin l'Aizenay, Comte de La Roche Sur Yon, Seigneur de Rocheservière, Seigneur de Grosbreuil,

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut veiller sur vous, ainsi que vos proches.

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Citation :: Nahysse de Plantagenêt, baronne de Lusignan,

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut veiller sur vous, ainsi que vos proches.

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

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Allégeances Oane de Surgères (Juin 1459) - Page 4 Poitou_comte-273f484

Allégeances Oane de Surgères (Juin 1459) - Page 4 Lettrine_a-2717723

Jehan de Proisy-Fortunat, Vicomte d'Olonne, Seigneur de l'Hermenault en Poitou,

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos allégeances et vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut vous guider sur la voix des Humbles et des Justes,

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Allégeances Oane de Surgères (Juin 1459) - Page 4 Poitourad8

Allégeances Oane de Surgères (Juin 1459) - Page 4 Poitourad8

Citation :: Sarmite, SIM Andilly les Marais

Nous, Oane de Surgères, Comtesse du Poitou, avons reçu vos ... allégeances si nous pouvons nommé le bout de parchemin déchiré et taché qui nous est arrivé à moitié illisible enfin, nous mettrons ça sur le compte du pigeon qui a du s'égarer dans les marais poitevins et nous vous accordons Protection, Justice et Subsistance le temps de nostre règne.

Puisse le Très Haut vous guider sur la voix des Humbles et des Justes,

Fait le 5ème jour du mois de juin de l'an de grasce mil-quatre-cent-cinquante-neuf,
Oane de Surgères, Baronne de Luçon
XXXVIème Comte du Poitou

Le héraut se releva et laissa le Comtesse parler à la noblesse, en effet la nouvelle était lourde.. Le comte de Surgères était en mauvais état. Encore un grand.. et pas n'importe lequel. Néanmoins il s'adressa une dernière fois à la Comtesse.

Je comprends tout à fait que vous devez vous rendre à son chevet. cependant vous devez prendre une décision par rapport à Olivyaa qui ne s'est pas présenté pour les allégeances. Elle n'était pas en retraite durant toute la journée. Alors soit vous la destituez soit vous laissez couler.

Oane eut du mal a se concentrer sur ce que lui disait le Hérault. Elle medita un court instant ces paroles et dit de sa voix haute et claire

Ma foy, si dame Olyvyaa est sorti une seule journée du couvent, sans doute avait elle trop peu de temps pour lire son courrier et realiser qu elle etait attendu icelieu. Je passe adonc mais envoyez lui un courrier pour lui rappeler son devoir car un autre comte sera peut être moins clement a l'avenir.

» Demande d'Oane de Surgères
» Juin 1459
» Nouvelle Traque : du 1er Juin au 1er Juillet 1459
» SURGERES // Mnémosyne
» [vicomté] Frontenay - Oane