Nez terriblement aquilin que surmontaient deux yeux de rapace couleur onyx. Cheveux corbeaux bien peignés qui venaient balayer les épaules carrées et un sourire qui se terminaient par une profonde cicatrice sur la joue gauche allant du coin de la bouche jusqu’à l’oreille complétaient le tableau. L’accent fortement de bourguignon accompagnait les grincements de cuir que faisait son broigne ainsi que les cliquetis de ses colliers prouvant son appartenance aux ordres de la toison d’or et du grand corbeau. L’épée, elle, balançait doucement sur le côté du Balbuzard.
Qu’il soit su, que nous Eusaias Blanc Combaz, Duc de Bouillon demandons audience au conseil du Poitou.