[Coupable]-Brigandage-Charlaine (25/09/1455)

Le 22/09/1455 Dame Marmi de Maminette s'est fait attaquer par Charlaine à Poitiers.
D'apès les dires de la victime voilà ses pertes :

Citation :

j avais en tout 97 epis de mais que j avais pris pour mon voyage 6 ou 5 morceau de viande une epée (qui etait a moi mais je ne comptais pas m en servir c etait plus par mesure de securité) une rame une barque 5 ecus et 15 streres de bois.

A vérifier.

Le brigand Charlaine n'est plus sur notre territoire, malgrès les fermetures de nos frontières.

Voici la preuve de l'agression :



Je vous laisse Prévot Mackx vous occupez de ce dossier, passez une bonne soirée.

Lors de ma garde dans la nuit du 23 au 24 ,ai croisé cette individu comme en atteste mes visions
[b]
Sujet: Thouars-24/09/1455-C.R du chef des maréchaux Hier à 8:13

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Événements récents :
Néant
Mémoire et vision

Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé un groupe composé de Aidan_daberdeen et de Alek_daberdeen, Angele55, *aelya*, un groupe composé de Silass et de Waldorick, l'armée "Armée de Mauléon" dirigée par Baillant, Bobdenar, et Survivaur.

Aujourd'hui, en chemin, vous avez croisé Jeanlefourbe, l'armée "Armée de Mauléon" dirigée par Baillant, Tigrator1, et Charlaine.

[quote]

Etant de guyenne,je lui fis une lettre pour qu elle quitte notre territoire. ce qu elle fit et pour cause.

Icie passant dans les couloirs entendit parler des racketts commis par des personnes de Guyenne, elle s'approcha du bureau et griffonna un petit mot pour la police.
Un traité judiciaire existe désormais entre la Guyenne et le Poitou. Ces personnes peuvent donc être poursuivis.
Cordialement

Icie de Plantagenêt

Oui, mais si elle a quitté Thouars, elle est surement en Anjou ...

Et on a pas encore de traité sur le feu pour la-bas ...

En procès, aperçu à Saintes après avoir traversé le Poitou.

Citation :

Acte d'accusation

Votre Honneur,

Aujourd'hui, 18 octobre 1455, j'ouvre le procès de l'accusé nommé Charlaine, se trouvant actuellement dans le village de Saintes du Comté du Poitou,

J'accuse Charlaine de trouble à l'ordre publique, pour avoir brigandé Dame Marmi de Maminette dans la nuit du 21/09 au 22/09/1455 à Poitier.

Fait à Poitiers,
Le 18/10/1455.
Cestcoyote, Procureur en Poitou.

Première plaidoirie de la défense

**Charlaine arriva à la cour de justice un peu essoufflée. C'est qu'elle se rendait en retraite quand elle avait eu une missive concernant une vieille affaire**

Elle approcha donc de la barre des accusés et salua l'honorable Juge;

Votre Honneur, bonjour. Je suis désolée que nous vous faisions perdre votre temps aujourd'hui pour une affaire qui était réglé avec la victime.

**Charlaine tendi un papier**



Vous pourrez constater sur cette missive transmise par m'dame Marmi, qu'elle explique clairement qu'elle me pardonne et qu'elle ne m'en veut point.

En effet, j'avais malencontreusement pris ses affaires au lieu des miennes aux abords des chemins.

Elle les avait sûrement laissé là le temps de faire je ne sais quoi, se refaire une beauté peut-être. Étant pressée, j'ai pris son sac de voyage au lieu du miens...

** Se tourne vers le Juge et lui fait un sourire sincère**

Vous savez, rien ne ressemble plus à un sac brun qu'un autre sac brun, dans la pénombre en plus!

Charlaine retourna à sa place attendre la suite du procès.

Réquisitoire de l'accusation

Cestcoyote se lève, regarde Dame Charlaine sur le banc des accusés.

Dame Charlaine, la seule personne à faire perdre du temps aux autres ici, dans ce tribunal, est bien vous.

Se retourne vers le Juge.

Venir se promener à sa guise dans notre Comté, qui en cette période était sous décret Comtal interdisant d'entrée et de sortir de notre territoire, datant du 28 août 1455, ce qu'elle a avez enfreint par deux fois, pour brigander, je dis bien brigander Dame Marmi, et ce dans notre Capitale, et nous faire croire à un malentendu avec la victime sur un soit disant échange de balluchon, voyons un peu de sérieux.

Dame Charlaine, je vous préviens que vous êtes en présence de l'honoroble Juge Cristof, vous êtes seule responsable de vos dires.

Votre Honneur, j'appellerai le Lieutenant Sancie pour venir vous lire le témoignage de la victime qui est étrangère au Poitou et hors de nos frontières ainsi vous pourrez constater, de qu'elle manière Dame Charlaine se joue des gens grâce à son charme.

Dernière plaidoirie de la défense

La personne intéressée ne s'est pas manifestée.


L'accusation a appelé Sancie à la barre
Voici son témoignage :

*Sancie s'approche de la barre, une missive à la main, et salue l'assemblée.*

Comme l'a annoncé monsieur le procureur,je vais vous lire le courrier envoyé par dame Marmi de maminette où elle raconte sa rencontre avec Charlaine.

*Sancie déplit le courrier, toussote et commence à lire à haute voix*

"J'etais de passage dans le duché du Poitou car je rendais visite a des amis à Agen. Et à ma grande surprise j'ai été victime de raquettage par dame Charlaine. Comme je possedais pas mal de bien sur moi afin de subvenir à mon long voyage. Je souhaiterais donc que cette personne soit punie pour son acte qui n est pas digne d'une dame de son rang.

Car en effet quand je suis arrivée a Poitiers j'ai vu cette personne qui semblait gentille éh bien non je me suis trompée elle m' a mise a l'écart et ma deposseder de tout mes biens. Je possedais une épée que j avais moi meme confectionner j'ai tenté de me defendre mais elle m a desarmer avant que je fasse quoique se soit.Je me suis sentie si impuissante."

*Elle pose le courrier sur le bureau du juge en le saluant d'un signe de tête et retourne s'asseoir dans la salle*

Citation :

Le jugement a été rendu
Enoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.

Bon et bien voilà un brigandage qui aurait pu rapporter gros.
Mais vous n’avez pas tiré le bon numéro, et vous avez été formellement reconnue.
Je ne m’attarderai pas sur votre tentative maladroite de justifier l’injustifiable en présentant à l’honorable cour un faux, élément qui sera prix en compte à charge.
Tout comme le fait que vous ayez enfreint le décret d’interdiction de circulation sur le sol Poitevin pour un résidant Guyennais, pour venir vous livrer à un activité aussi vile que le racket.
Aussi voici donc mon verdict :
Attendu que l’accusée est formellement reconnue comme l’auteur des faits.
Attendu que le préjudice de la victime est estimé à 850 écus.
Attendu le non respect du décret et l’usage de faux.

La cour vous déclare coupable et vous condamne à une amende de 950 écus.

Cristof, Juge du Poitou
Le 1 novembre 1455

Le prévenu a été condamné à une amende de 950 écus.