Allégeances au Comte Jehan

Quentinx entra discrètement dans la salle du trône,
toujours discret il salua les personnes qu'il connaissait et s'installa au fond de la salle

Poitevin Pure Souche Nombre de messages : 3438 Date d'inscription : 23/08/2006

Olivyaa s'approcha de son ami, posa un genou à terre

Nous, Olivyaa de Fontenoy, promettons fidelité, aide et conseil au Comté du Poitou et à son représentant légitime Jehan de Proisy

Elle se releva et attendit que la cérémonie se poursuive

Poitevin Intégré Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 03/09/2008

Se tournant vers le Comte Régnant, la Malemort l'invite à répondre pour achever la prestation de serment.

Sa première réponse de Comte...L'émotion tient tout autant à la responsabilité de ce que cela représente qu'à la bénéficiaire.

Dame Olivyaa de Fontenoy, moi Jehan, Comte du Poitou, vous accorde, pour la durée de mon règne, protection, justice et subsistance.
Le Poitou ne peut que s'enorgueillir d'avoir dans sa noblesse des personnes de votre qualité et de votre fidélité.

Dur de rester "officiel" quand il aurait tant de choses à dire à cette amie...

D'un regard il invite La Malemort à poursuivre

Kiriell qui avait reçu missive de la comtesse Olivyaa de fontenoy pour venir se présenter à la cérémonie se dit qu'enfin il pouvait entrer dans cette fameuse salle du trône.

Il était vêtu de ses plus beaux apparats puisque justement une autre réception avait lieu en la chancellerie en ce moment.

Une partie de la noblesse Poitevine s'y trouvait déjà et même s'il avait eu souvent l'occasion de les croiser, il en restait fort ému de se retrouver parmi eux en ces lieux.

Il s'installa discrètement dans le fond en attendant de savoir s'il allait lui aussi recevoir seigneurie comme le lui avait promis la précédente comtesse et sur laquelle il avait eu la chance de travailler avec dame nebisa.

Poitevin Intégré Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 03/09/2008

S'avançant alors, la Malemort donne lecture du contreseing.

Citation :

Nous, LeGueux d'Alanha, Roy d’Armes de France, Pair de France, Coms de Gévaudan Bar d'alanha senher de Sant Marti

A toutes et tous que la présente liront ou entendront

Adissiatz.

Par la dite présente, faisons savoir :

Que conformément aux textes & coutumes héraldiques, nous validons et contresignons la demande de fief de retraite de Dame Olivyaa.

Qu'en conséquence, lui est octroyé le fief de Aunis, fief élevé en Comté.

Qu'après recherches héraldiques, il est apparu qu'Aunis porte : "De gueules à une perdrix couronnée d'or"

Soit, après dessin :

Allégeances au Comte Jehan - Page 2 Aunis10

Qu'afin que nul ne puisse contester la vigueur et l'autorité de la présente, apposons notre scel.

Siaga atal.

Fach lo quatorcen junhienc de l'an MCDLVII en la gleisòla de sant Antòni lo pichòt
Fait le quatorzième de juin de l'an MCDLVII en la chapelle de Saint Antoine le Petit.

Allégeances au Comte Jehan - Page 2 Orsx7

Allégeances au Comte Jehan - Page 2 Orsx7

Toutes mes félicitations Comtesse d'Aunis.

Se tournant alors vers la salle et le Comte

A présent, nous pouvons débuter les allégeances de la noblesse à son Comte, dans quelques heures, nous procéderons aux deux anoblissements du précédent mandant, pour l'heure, nobles dames et sires peuvent s'avance.

Xavix pour la première fois poussa la porte de la salle du trône ou jamais auparavant il n'avait osé mettre les pieds... C'est avec une certaine appréhension qu'il arrivait la, vêtue de sa meilleure tenue et a la demande de sa grandeur Olivyaa.

Ne sachant trop comment se passaient ici les cérémonies, il se fit discret et partit rejoindre son ami Kiriell qu'il avait aperçu à l'autre bout de la salle, et attendit qu'on lui fasse signe.

La comtesse Icie avait du s'absenter pour les preparatifs de le reception à la chancellerie. Lasse, elle avait glissé. Une de ces mauvaises chutes qui vous torde le pied à tel point que vous vous trouvez momentannement incapable de marcher. Elle avait du accepter d'être pommader, bander et se tenir tranquille pendant 2 jours. Un exploit pour elle qui ne tenait pas en place. Mais sa resistance à l'immobilisme avait cedé et c'est avec l'aide d'une canne et d'un valet qu'elle se rendit en salle du trone.

L'heure n'etait pas encore aux allegeances, cela lui laisserai le temps demain de se rendre à la chancellerie. Mais por l'heure elle tenait à féliciter Olivyaa qu'elle estimait beaucoup.

Chere amie, tu m'excuseras d'être brève. Tu le vois je ne peux guere rester longtemps debout. Mais je tiens à te féliciter. Te souviens tu? un jour, il y a longtemps, je t'avais dit que tu serais comtesse un jour. Sourire.
Ce jour est venu et je m'en rejouie.
Je ne reste que peu, mon medicastre va hurler. Je vais m'installer sur ce fauteuil là bas. Le comte ne m'en voudra pas, j'espere

Poitevin Pure Souche Nombre de messages : 3438 Date d'inscription : 23/08/2006

Elle écoutait Nebisa, émut, ne réalisant pas vraiment ce qui se passait. Cette petite rochelaise Comtesse... qu'il était loin le temps où avec son frère et ses amis, ils restaient jusqu'à pas d'heure en taverne à rire, chanter.

Elle sourit d'un air entendu à Jehan, puis laissa sa place pour les allégeances. Elle aperçut Icie

Oui Icie, qui l'aurait cru ? pas moi en tout cas. sourit Je suis contente que tu sois venue, malgré ta blessure. J'espère que tu iras mieux rapidement.

nebisa a écrit:: A présent, nous pouvons débuter les allégeances de la noblesse à son Comte, dans quelques heures, nous procéderons aux deux anoblissements du précédent mandant, pour l'heure, nobles dames et sires peuvent s'avance.

Zalina jeta un oeil aux nobles présents. Aucun ne semblait oser prêter serment en premier. La Peste hésita encore quelques secondes puis finit par s'avancer lentement, au cas où un autre voudrait passer avant elle. Mais elle arriva au pied du Comte la première.
Elle posa un genoux à terre et garda les yeux au sol en énonçant son serment.

Votre Grandeur,
Je me présente devant vous et vous reconnais, vous Sa Grandeur Jehan de Proisy-Fortunat, comme Comte du Poitou.
Moi, Zalina de Montmorency, Damoiselle de Colombiers, vous promets respect, aide pour la protection du Comté et conseils autant que la loi Poitevine m'y autorise, en toutes circonstances.

Puis elle se releva et retourna dans le fond de la salle.

[HRP : désolée pour le "grillage de politesse" et de faire aussi court. Une urgence familiale m'oblige à me mettre en retraite dès demain]

Damoiselle Zalina se présenta la première pour prêter allégeance...

Damoiselle de Colombiers, moi Jehan, Comte du Poitou, vous accorde, pour la durée de mon règne, protection, justice et subsistance en nos terres.

[pas de souci tout va bien merci d'avoir prévenu]

Un peu en retard pour la cérémonie... Oui, c'est sûr, Davor ne pouvait le nier. Mais au moins, il était là à temps pour prêter allégeance à son cousin, avec même un peu d'avance d'ailleurs. Le Baron avait bien mal au crâne, depuis une soirée en taverne fort arrosée, où la bière avait coulé à flots. Une des meilleures soirées qu'il avait passée depuis fort longtemps...

La bouche empâtée, les traits tirés, le Baron n'avait pas un air glorieux, loin de là. Mais l'essentiel était d'être présent, c'était ce qu'il se répétait comme un leitmotiv, comme si cette simple phrase allait lui permettre de garder les idées claires.
Il n'y avait plus qu'à espérer que quelqu'un lui ferait signe quand ce serait à lui de s'avancer pour prêter allégeance, ou bien que son esprit aurait dissipé le brouillard qu il'envahissait pour l'instant.

Kali arriva discrètement à la cérémonie d'allégeance de son Comte et ami Jehan. La cérémonie ayant commencée, un peu intimidée elle se glissa le long du mur, observant la noblesse poitevine présente.
Ses yeux parcourant l'assistance, elle aperçut Xavix au loin, enfin un visage connu... puis son regard se posa sur Jehan, magnifiquement vêtu, et sourit en voyant Davor non loin, se sentant un peu moins perdue dans cette assistance.
Elle observait silencieusement la scène, pouvant enfin mettre un visage sur certains noms entendus maintes fois prononcés.

Adossé dans un coin, le nabot baveur espion royal suivait la scène. Le même rituel qui recommençait. Mais cette fois-ci c'était un peu différent. Sa cousine recevrait son fief de retraite. Un Comté pour tout le travail fourni.
Il était heureux pour elle quand il la vit s'approcher de Nebisa et Jehan pour prêter allégeance.
La fouetteuse serait Comtesse d'Aunis. Au moins, les répliques concernant son "forçage" de main pour qu'elle soit tête de liste ne seront plus. Enfin il l'espérait. Parceque le fouet ne lui avait pas manqué pour un écu !

Bras croisé, il attendit que cela soit officiel pour Loly, puis décida de s'en aller. Il ne voyait pas l'intérêt de rester pour voir ce qu'il pourrait décrire au mouvement près. Il s'en alla discrètement, renonçant à saluer Elra qu'il n'avait pas vu depuis bien longtemps.

Le Comte voit arriver son cousin dans un état disons fatigué et discrètement lui fait signe qu'il peut s'avancer.
Il salue également le Secrétaire d'Etat espérant que ce dernier viendra le saluer

Davor esquissa un sourire en voyant Kali entrer discrètement dans la salle, et lui fit un petit signe de la main, avant de reporter son attention sur Jehan, juste à temps puisque celui-ci lui fit signe d'avancer. Ou alors il avait simplement une crampe dans le doigt, allez savoir.

Bref, tant pis, on respire un grand coup, un bon bol d'air frais, si tant est qu'il y ait de l'air frais alors que la salle est bondée, et on se secoue la tête pour essayer de s'éclaircir les idées.

Le Baron s'avança, d'un pas légèrement mal assuré et vint ployer le genou devant son Cousin, ce qui le fit sourire intérieurement.

Nous, Davor, Baron de Pouzauges, prestons allégeance au Comté du Poitou et à son représentant, le Comte Jehan, et lui promettons obsequium, auxilium et consilium, pour la plus grande gloire du Poitou.

Bon manifestement son cousin avait passé une dure nuit...sans doute les rondes incessantes pour la protection de LT...Le Baron vient faire allégeance et un regard entre le Comte et lui s'amuse de la situation...
Reprenant son quant à soi le Comte...

Baron de Pouzauges, Seigneur de Saint Sauvant et de Milliac, moi Jehan, Comte du Poitou, vous accorde, pour la durée de mon règne, protection, justice et subsistance en nos terres.

La comtesse regardait le va et vient des nobles et des courtisans d'un air contrarie. Non seulement cette ceremonie avait ete organisé pratiquement à la fin du comte regnant, ce qui frisait presque le ridicule mais sa maitrise semblait vraiment echappé au heraut. Voilà qui ne grandissait guere l'hérauderie. Les nobles se regardaient en hesitant......n'osant avancer ou avançant sans que le heraut ne s'en preoccupe. A se demander si, les heures filants, on ne preterait pas serment pendant le regne du comte de la Saint Glinglin.

Lasse, elle aussi d'attendre le bon moment, et dans le doute, elle décida de passer outre. Apres tout, l'important etait que le comte du Poitou entende sa noblesse !

Mon comte,
Moi, Icie de Plantagenêt, comtesse de Salbart, vicomtesse de Bressuires, baronne de Lusignan, au nom de ma famille, pretes allegeance au Poitou et à son representant le comte. Je lui promets obsequium, auxilium et consilium. Qu'Aristote garde le Poitou

Elle se releve peniblement et retourne s'assoir

Cyphus s'avance à son tour, son épouse à son côté.
Il dégaine Sobrié et s'agenouille, pointe de l'arme au sol.
-Nous, Cyphus Garion, Seigneur d'Erguenault renouvelons notre allégeance au Poitou et en son représentant élu par le peuple poitevin.
Juro obsequium, auxilium et consilium.
Il lève le regard vers son "cousin" puis se redresse.

Sexybabyphat précédée de son mari, posa un genou parterre devant sa grandeur le comte Jehan et pointa son épée sur le sol.

-Nous, Sexybabyphat Garion, Dame d'Erguenault renouvelons notre allégeance au Poitou et en son représentant élu par le peuple poitevin.
Juro obsequium, auxilium et consilium.

Sexybabyphat rengaina son épée et se releva pour aller rejoindre son époux. Elle recula allègrement.

La Baronne Abaelle, dont l'approche du trône était passée inaperçue (post disparu....) décida de ne plus attendre et se présenta sans ambages devant le comte Jehan. Comme à l'accoutumée, elle appuya la pointe de son épée au sol, posa un genou au sol et s'adressa à lui en ces termes :

Mon comte, le bonjour !

Je suis devant vous pour vous assurer de la fidélité sans faille de la baronnie de Rochefort envers le Poitou, et à travers lui, à votre personne.

Je vous promets obéissance, conseil et soutien armé tant qu'Aristote guidera mon bras.

Ces mots prononcés, elle se releva, épousseta la jupe de sa robe de cour et s'apprêta à reprendre sa place dans l'assistance.

Le commandant Cyclope attendit la fin de l'allégeance de dame Abaelle pour se presenter au comte du Poitou
Posant son épée au sol et un genoux a terre :

Moi Cyclope Seigneur de Marsay et commandant de la légion Poitevine ,prete allégeance au nouveaux comte du Poitou !
Je lui promet ainsi obeissance et conseil ainsi que le soutien militaire tant qu il regnera sur le trone Poitevin !

A ces mots le seigneur de guerre saluat le comte Jehan et allat s'asseoir vers un des bancs ou les invités etaient assis ...

Poitevin Intégré Nombre de messages : 70 Date d'inscription : 03/09/2008

Biffant à chaque passage les nobles ayant fait allégeance, la Malemort adresse un laarge sourrire à Icie, suremment encore en train de penser du mal des gens dont elle n'oserait rien dire à voix haute et entreprend de faire le compte des nobles encore attendu... une douzaine...

Jetant un regard au Comte, elle lui indique qu'ils peuvent à présent procéder aux anoblissements en attente s'il le désire.

(hrp et oui désolée mais y a des gens qui partent en vacances en été, c'est abhérant je sais mais je suis pas enchainée à mon pc !)

Poitevin Pure Souche Nombre de messages : 547 Date d'inscription : 23/08/2006

Le Vicomte était rentré il y a peu de temps chez lui. Il y a deux jours exactement, jours avant lesquels il n'avait pas eu le temps d'envoyer missive au Comte Jehan afin de renouveler son allégeance. Mais de toute façon, comme - aux dires des bruits qui couraient - la cérémonie avait pris du retard, le licorneux serait encore bien dans les temps pour déclamer son allégeance de vive voix, ce qu'il préférait à une froide missive.
Une fois ses affaires remises en ordre à Fontenay, il s'habilla donc correctement, prit son épée, accrocha son écu à sa selle et engagea son cheval vers Poitiers. Les chemins poitevins si souvent parcourus brillaient sous le soleil de juillet, les champs de blé blondissaient et commençaient à se courber, signes avant coureurs d'une récolte prochaine et les grands arbres étaient tout verts de feuilles au travers desquelles luisait les rayons de l'astre du jour.

Arrivé à Poitiers, il se dirigea sans perdre de temps vers le Castel et laissa son cheval à l'entrée à la garde d'un palefrenier. L'écu pendant à sa selle n'ayant pas du servir sur la route - et c'est heureux - et risquant plus de déranger que d'être utile lors de l'agenouillement, le rochelais le laissa pendu à sa selle. De toute façon, il était bien là ...
En entrant dans la grande salle, il vit que celle-ci était déjà fort remplie et que certaines têtes lui étaient inconnues. La rançon de l'errance se payait cash et un léger voile de tristesse passa dans les yeux bruns du Vicomte avant de disparaître aussi rapidement qu'il était apparu. Il avait choisi, en connaissance de cause et n'avait pas de remords, de toute façon, l'on a qu'une vie.

Les nobles commencèrent à s'avancer, petit à petit, sans que la Malemort n'ait donné un signe. Bon ben puisque ça devenait une coutume que d'aller prêter allégeance sans y être invité, Mackx la suivrait, même s'il la déplorait. Partant vers Jehan après que Cyclope s'en fut revenu, le rochelais s'agenouilla devant les genoux du Comte avant de faire allégeance.

Votre Grandeur,

Je suis ici aujourd'hui pour renouveler mon allégeance envers vous. Je vous jure conseil, fidélité et aide armée.
Vous savez très bien que même sans ça, si le Poitou a besoin de moi, je serai là.

Puisse votre règne être grand et juste.

Le licorneux sourit à Jehan, un sourire d'encouragement adressé à lui et lui seul dont il savait combien la charge ne serait pas aisée, puis, il se releva sans se presser. Rien ne servait de courir et de s'étaler dans la grande salle quand on avait tout le temps d'y aller peinard.

Au tour de Napoo, de prendre la parole.

-Nous, Napoo de Lagord, Seigneur de Lagord et commandant des armées de La Rochelle renouvelons notre allégeance au Poitou et en son représentant élu par le peuple poitevin.
Juro obsequium, auxilium et consilium.

» Absences des joueurs
» Demande de précisions Jehan de Proisy-Fortunat
» [Classé]10/05/1454 - Faooeit - Brigandage
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